Ne vous trompez pas de direction, comme le PMU !
En bas de ce chapitre, la défense de iPMU, que le PMU voulait museler.
A droite, l’accès aux différents chapitres
qui vous apprendront la réalité du PMU>
En bref : Je suis un turfiste; un simple turfiste de 83 ans. J’ai l’âge du PMU. Mon père a été à l’origine de la réussite du Tiercé (1956). Son fils, Mister.Y, (Son nom importe peu. Il ne cherche ni honneurs ni argent) est un addict au jeu, sans ambition particulière, conservateur, étonné par l’évolution désastreuse du PMU, et probablement seul véritable archiviste de cette institution, s’étonne, s’indigne même de la dérive de ce qui fut la première «industrie» de France. Avant de «passer», il tient à en révéler les désastreuses erreurs à répétition de ses présidents, afin d’alerter le monde des courses. (turfistes, propriétaires, entraîneurs, jockeys, drivers, et surtout ministères de tutelle - Finances et Agriculture) et essayer de sauver ce qui peut encore l’être. Il est préférable de s’asseoir à une table de négociation et s’amender, plutôt qu’au tribunal des conséquences. Le temps presse. Il est même dépassé! Aucune course, pour rapide qu’elle soit, n’a jamais fait reculer les aiguilles d’une montre ne serait-ce que d’une seule seconde.
Changer de présidents ne suffit pas.
Il faut changer la façon de penser.
Think different! Au PMU on ne change jamais une équipe qui perd . . .
la tête.
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Ci-bas, iPMU tente de se défendre contre le PMU qui veut l’étouffer.
Oui, le PMU est tombé de cheval. Il s’est ramassé sur un terrain de foot. Il ne tient plus debout. On a dû l’asseoir à une table de poker. Il a perdu son âme. Il a transformé les turfistes en joueurs de hasard. Il a perdu une partie de sa clientèle et il est tout bonnement en train de faire faillite. L’enfer du jeu est en train de s’éteindre. Nous verrons cela plus loin.
Début 2013, j’ai ouvert le site contestataire iPMU.fr dans lequel je disais quelques vérités gênantes pour les dirigeants du PMU. (c’est le moins qu’on puisse en dire). En mai 2014, Philippe Germond, alors président du PMU, s’en est ému. Il m’a menacé de me faire un procès si le site était maintenu. Il est à remarquer qu’il existe de nombreux sites, moins documentés, mais en tous cas tout aussi virulents contre le PMU et ses erreurs à répétition qui sont en train de l’achever. Mon site iPMU est le seul qui ait gêné le PMU au point de vouloir m’intenter un procès. Curieux, non?
Ma famille, mon père surtout, a été intimement mêlé à la réussite du Tierce des années 1956 et suivantes, à tel point que cela m’a permis de dire tranquillement dans mon rapport et mon site précédents, et je le confirme ici :
Je dédie ce site à mon père.
A mon père sans lequel je ne serais pas.
A mon père sans lequel le PMU ne serait plus.
Cela peut vous sembler un peu grandiloquent. Je me charge de vous faire changer d’avis dans les prochains chapitres. J’ai également ajouté dans ces mêmes rapport et site une petite phrase qui prétend :
Je veux bien que ma passion pour les courses me tue.
Je ne permettrai à personne de tuer ma passion.
Je pense être un homme de parole. Je ne permettrai pas à des De Bellaigue, des Germond, des Bélinguier surtout, de se retirer avec les honneurs, après fortune faite et PMU défait.
Aujourd’hui, le PMU, gérant les courses de chevaux, le roi des sports, le sport des rois, ressemble fort à la fin de règne de Louis XIV. Il est en décomposition. Le point de non retour semble largement dépassé. Pour sauver le PMU, ce n’est pas un homme providentiel, du style Sarkozy, (???) qu’il y faudrait, mais un homme de la providence, un prêtre pour lui administrer l’extrême onction. Nous assistons aujourd'hui aux derniers soubresauts. Cela est une évidence pour tous, sauf pour les présidents du PMU.
Les menaces du PMU à mon encontre.
donc à mon encontre.
L’injonction de l’avocat du PMU porte essentiellement sur trois points, l’un plus étrange que l’autre. (Je suis tout seul à être ainsi attaqué. Ca cache quoi?)
1° - iPMU a piraté le sigle du PMU, et nous appartient.
2° - iPMU diffame les présidents du PMU.
3° - iPMU s’attaque et remet en question une entreprise sous tutelle de l‘Etat Français, reconnue et déclarée depuis le siècle précédent, «d’utilité publique».
Quand j’ai lu ça, le fauteuil à roulette de mon bureau n’a fait qu’un tour, et je me retrouve face à mon ordinateur, pour répondre d’un clavier léger, point par point . . .
1° - iPMU a piraté le sigle du PMU ?
Dès l’explosion de la «bulle Internet», les premiers arrivés ont logiquement déposé leurs noms. C’est le cas pour le PMU - (PMU.fr - PMU.com etc.). Très vite les noms propres libres se tarirent. On a fait ensuite appel aux noms composés, du style «adopte.un.mec.com.», puis on a inventé de nouveaux noms, si possible «sonnant bien» pour être retenus par la foule amnésique. Aujourd’hui, dans cette course folle, mondiale, des ordinateurs tournent à plein régime pour inventer et breveter de nouveaux noms. Certains noms de domaine se revendent une fortune. C’est le cas de Messié, (éphémère patron de Vivendi), qui en l’an 2000, paya 24 millions de francs le nom «vis@vis». (3.600.000 euros).
Bien entendu, «imiter, c’est aussi contrefaire», à condition toutefois d’avoir une similitude phonique, ce qui n’est pas le cas ici (trois syllabes pour PMU contre quatre pour iPMU et l’initiale d’ordre alphabétique est différente). Mais surtout, nous n’avons pas la même activité. Le PMU vend des paris dans des conditions discutables. Je ne vends rien. Absolument rien. C’est indiscutable.
Dès 1983, j’ai été un grand admirateur de Steve Jobs, le croqueur de pommes, qui a changé le monde, en «pensant différemment» (Think different). Je possède d’ailleurs la quasi totalité des ordinateurs et tous les téléphones vendus par Apple. Malheureusement, ces inventions ont été dévoyées. Aujourd’hui, une foule de jeunes utilisateurs de l’iPhone le sollicitent 200 fois par jour pour dire «t’es où?», ou pour envoyer des «sms» constipés de fautes d’orthographe, ou pour découvrir le résultat de l’addition 1+1=2, ou pour atteindre un interlocuteur sans jamais exercer leur mémoire en essayant de se souvenir des numéros de téléphone. Un désastre qui va décérébrer l’ensemble de la population mondiale. Les rares individus qui échappent à cet alzheimer programmé, écrivent des programmes informatique, asservissement le monde et font fortune. Les autres appuient sur un bouton pour obtenir un service dont ils ignoraient avoir besoin une minute avant, et . . . paiement.
Il y a environ 8 ans, dans un rapport «papier» de 145 pages touffues, que j’ai fait parvenir à 150 personnalités du monde hippique, présidents du PMU, journalistes hippiques, propriétaires, entraineurs significatifs, j’avais avancé une bonne centaine de critiques concernant le PMU et Paris-Turf. Je m’étais permis de dénoncer la gué-guerre entre ces deux-là et j’avais avancé une petite phrase qui disait :
Sans le PMU on ne peut pas faire courir.
Sans Paris-Turf, on ne peut pas jouer.
Cela bien avant l’épisode «Gény-Courses» et d’autres agressions du PMU qui ont affaibli ces deux institutions. Le PMU, comme d’habitude, a fichu mon rapport à la poubelle.
Curieusement, des rapports critiquant le PMU sont fort rares. Les turfistes isolés, addicts, sont trop occupés à perdre leur argent. Le Syndicat ANT, dirigé par Eric Intermann, somnole. J’ai dit de Intermann qu’il était le seul homme au monde qui hibernait même en été. Un autre syndicat plus récent, présidé par un jeune homme tombé de la dernière averse, insignifiant au point de ne pas le nommer, tente de s’asseoir sur un strapontin du PMU, plutôt que de le combattre. On lèche, on pourlèche. On vise les honneurs plutôt que le coeur du PMU. Quelques idées irresponsables en émanent. (Tout cela sera trituré dans mes prochaines pages).
En plus consistant, on note 3 rapports.
Il y a huit ans, mon rapport de 145 pages a été mis à la poubelle. (J’en résumerai les points principaux en un seul chapitre). Prémonitoire, très franchement, si plutôt que de le mettre à la corbeille, il avait été lu, le PMU n’en serait pas à ses derniers retranchements.
Puis, en 2012, François Fillon, alors Premier Ministre a demandé un rapport à Daniel Augereau. Homme de bonne volonté, équilibré, observateur, Augereau n’a toutefois pas su voir les raisons profondes qui mènent le PMU à sa perte. En revanche il a très bien perçu le petit jeu politico-politicien de bas étage, fomenté par une poignée d’arrivistes qui se sont emparés du PMU et l’ont mis sous séquestre de leur incompétence. Le rapport Augereau a fait très peur à Bélinguier et de Bellaigue. (Je suis à la recherche, dans mes énormes archives, de la photo où ces deux-là, la bouche en cul de poule, se lamentent de ne pas avoir reçu le rapport avant François Fillon qui l’avait commandé à Augereau (???) Je la publierai ici.). Puis le rapport Augereau est tombé à son tour aux oubliettes.
Je ne suis pas le bon dieu, qui d’ailleurs, d’après moi, et je partage cette certitude avec moi-même, n’existe pas. Mais le passé de ma famille, mes 67 ans d’observation de ce foutu PMU, me permettent de me rapprocher tant soit peu de la vérité de cette institution. Etrange! Au moment même où j’écris ces lignes, ce 15/09/15, j’apprends la disparition de Guy Béart. Son titre «Il a dit la vérité, il doit être exécuté» s’impose à moi. La plupart des vérités ne sont pas bonnes à dire, et aucune à écrire. Mettre mon rapport à la poubelle, sans même le lire; essayer d’étouffer mon site iPMU.fr ne font que démontrer l’inquiétude du PMU. Cette fois-ci j’ai pris quelques précautions. Je saurai vous faire regretter votre comportement agressif et irresponsable à mon égard.
L’intelligent Rohan Chabot (pour une fois qu’il y a quelqu’un d’intelligent dans le circuit des courses, autant le signaler), s’en est ému. Dans une déclaration passée totalement inaperçue il s’inquiète et dit :
Chapeau Chabot ! (J’ai honte de ce jeu de mots à la Paris-Turf. Est-ce que vous trouvez cha-beau? A force d’acheter ce journal, il a déteint sur moi). En d’autres termes, après avoir gagné contre l’inconsistant Bélinguier, Chabot prévient ses collègues que le PMU est maintenant trop faible pour soutenir des attaques à répétition. (en italien : non si uccide l’uomo che caca - à vos dictionnaires) Trop l’agresser c’est scier la branche sur laquelle les sites privés sont assis. Judicieux le choix du verbe «abîmer», ruiner, détruire complètement, anciennement: pousser dans les abîmes.
Mais dans bien des domaines, les yeux sont plus grands que le ventre. A son tour, Chabot n’a pas été entendu. L’ensemble des sites s’est ligué contre le PMU, en «masse commune» et bien entendu, Paris-Turf, avec son site «Leturf.fr» empiétant largement dans le domaine de l’interdiction d’être à la fois juge et partie, s’est joint à ce mouvement. Messieurs de Paris-Turf, le jour où le PMU aura fait faillite, est-ce que c’est votre journal (maintenant vendu à moins de 30.000 exemplaires) qui va organiser les courses de chevaux? La seule course que ce canard puisse organiser, c’est la course au Pôle. Pas le Pôle Nord, non . . . La course à Pôle-Emploi !
(Vous trouverez l’essentiel du contenu de mon rapport de 145 pages dans un chapitre qui lui sera consacré. Désolé de vous faire attendre un peu, mais je suis tout seul à écrire toutes ces conneries, qui ne le sont pas toutes, d’ailleurs).
Quand j’ai appris que l’iPhone allait être mis sur le marché aux US, je suis parti pour New-York avec un ami, afin de vivre ce moment historique. J’avoue que nous avions l’intention d’acheter une dizaine d’iPhones chacun, et ainsi payer largement notre voyage en les revendant avant leur commercialisation en France. Nous avons vécu des moments intenses, mais nous avons été contingentés à 3 iPhones chacun, ce qui malgré tout a amorti nos frais.
Or, non seulement vous n’avez pas tenu compte de ma «prédiction» : «L’arme fatale, l’iPhone, arrive . . . », mais dans votre insouciance, dans votre imprévoyance, vous n’avez pas breveté «iPMU». En 8 ans, (huit longues années) il ne vous est pas venu à l’esprit (esprit es-tu là? . . . et ce fichu guéridon qui refuse de tourner) . . . venu à l’esprit de le déposer. Il faudrait peut-être déposer votre «responsable en communication». Devant votre désintéressement, 8 ans après, j’ai déposé iPMU.fr et «je-me-le-garde!». Mieux . . . j’avais breveté également iPMU.com mais jugeant que le PMU était une «impertinence» bien française, je me suis contenté de iPMU.fr et j’ai abandonné iPMU.com à son sort.
Je ne l’ai pas revendu, m’interdisant à jamais dans la démarche qui est la mienne de demander, de gagner le moindre euro sur internet. Je pensais que vous vous seriez jetés dessus pour vous en emparer. Pas du tout. Quelqu’un d’autre l’a fait à votre place et l’a mis aux enchères. Il atteindra plusieurs milliers d’euros.
D’ailleurs, iPMU est déposé dans toutes les extensions étrangères. Mis à part iPMU.fr, (mon site), une bonne vingtaine de «iPMU» sont déposés par des privés ou des associations très diverses. D’autres sites encore sont venus se greffer sous des appellations comportant une prolongation, du genre «iPMU‘2014, 2015 etc». Je ne vois pas comment le PMU pourrait interdire toutes ces activités sous prétexte que les initiales «PMU» sont contenues dans un autre nom. On ne peut pas faire une exception, juste pour mon site.
Tout cela met en évidence que votre «chargé de communication» est un nullard à nul autre pareil. Il faudrait peut-être le mettre bruyamment dehors. Il est à remarquer qu’il n’est pas pire que l’ensemble des dirigeants du PMU. Cela ne se peut. Vous êtes, les uns et les autres, à fond de cale. Pour aller plus bas, il vous faudrait creuser profond. Le PMU est un amoncellement d’incompétences, tenant miraculeusement ensemble par quelques rustines, quelques fils de fer torsadés, le tout maintenu artificiellement en surface par la ferveur des turfistes que Bélinguier à commués en joueurs de hasard. Ca ne va pas durer.
Allons un peu plus loin dans cette histoire de sigle. iPMU signifie :
information aux Parieurs Mécontents Universels
Par ailleurs, que signifie donc le sigle PMU ?
Pari Mutuel Urbain ? Pas du tout !
Pari? Désolé, on ne parie pas sur le jeu de hasard qu’est devenu le PMU de Bélinguier. On joue plutôt au SpOt, à la Tirelire, tous deux basés sur un tirage au sort.
Mutuel? Qu’est devenue la «mutualité» dans votre histoire? Elle a été pulvérisée, anéantie. Des avantages ponctuels autant dans leur géo-localisation que dans la promotion de tel ou tel jeu qui se casse la gueule. Des milliers de joueurs qui entrent dans un jeu d’argent sans payer. Des avantages à ceux qui jouent plus, au détriment des plus pauvres qui n’ont que quelques euros à perdre. Cela est aux antipodes du «mutualisme» Je m’en expliquerai longuement plus loin dans un chapitre qui lui est consacré. Je vous réserve des surprises.
Urbain? A la ville, par opposition au PMH (Paris Mutuel Hippodromes), que le PMU a acculé à la faillite avec ses chaînes Equidia de médiocre qualité, son site Internet tarabiscoté. La disparition du PMH marque ce qu’on appelle «le début de la fin». (Curieusement c’est au moment où j’écris ces lignes, que les employés du PMH, la larme à l’oeil, ont définitivement fermé boutique à Vincennes. C’est prémonitoire. C’est ce qui risque d’arriver à tous les autres guichetiers du PMU). Le PMU n’est pas seulement à la ville, mais partout. Bientôt on trouvera des machines à jouer dans les lieux d’aisance, à hauteur du Saint-Siège, avec bien entendu la double fonction de distributeur de tickets PMU et de dévideur de PQ.
PMU est un acronyme qui de changements en virevoltes, a finit par dire le contraire de son apostolat initial. Tout comme le dit Charles Aznavour à la fin de sa chanson «La Bohème»: «La Bohème, ne veut plus rien dire du tout.» le sigle PMU lui aussi ne veut plus dire grand-chose. Ca m’ennuie un peu. Je m’étais lancé dans un de ces jeux de mots douteux dont j’ai le secret . . .
«UMP et PMU», même combat perdu». Et voilà que l’UMP change de nom et devient «Les Républicains». Plutôt que de vouloir m’interdire iPMU, le PMU ferait mieux de copier l’UMP et de changer à son tour de nom et de sigle. Le sigle PMU est galvaudé, évocateur de perte, de vice du jeu, d’addiction, de misère. Je peux aider à trouver un autre nom et lui refaire une virginité, gratuitement s’entend.
Il est à remarquer que c’est justement cette photo (ci-haut) qui a été visée dans la plainte du PMU. Il s’agit d’une photo prise dans la rue. Or la rue est le domaine publique, et si le PMU veut éviter la reproduction de son sigle, il lui suffit de le supprimer sur les 13.000 points de vente et le mettre seulement à l’intérieur de ses propres locaux.
(pas si mal d’ailleurs, j’ai déjà fait pire). Essayez de vous améliorer, Messieurs du PMU. faute de quoi vous allez perdre votre prochain procès contre iPMU.fr. Cela me ferait de la peine. «A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire». (Le Cid).
Si en tant que critique je choisis de parler du PMU, je ne peux pas l’appeler l’UMP. (UMP, PMU, même combat perdu).
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2° - iPMU diffame les présidents du PMU ?
Faut voir comment ils se la pètent ces présidents-là! Prenons un dico, c’est parfois utile. Diffamer: porter atteinte à la «fama», à la réputation. Synonymes: souiller, dénigrer, ternir, calomnier, salir, vilipender.
Or de deux choses l’une. Où on vient à l’encontre de l’évidence la plus élémentaire, universellement admise, et dans ce cas, c’est une diffamation. Exemple : Gandhi a la réputation de chantre de la non-violence. Si je l’accuse d’être un «serial killer», muni de kalachnikov, (qui n’existait pas à l’époque), c’est évidemment une diffamation.
En revanche, j’accuse ouvertement M. Bertrand Bélinguier (et autres) d’être responsable de la ruine du PMU, en raison de ses décisions inconscientes, de ses erreurs MAJUSCULES à répétition, dont je donnerai l’interminable liste et une analyse objective, alors que depuis 20 ans il a soigné son image de marque, tous sourires dehors, se glissant au milieu de toutes les photos et s’est ainsi construit une réputation de Grand Sauveur du PMU tout à fait usurpée. C’est mon bon droit de vous faire la démonstration que tout au contraire, cet homme est «LE» destructeur du PMU. Je vais attirer l’attention de tous ceux qui l’admirent, le vénèrent ou le craignent pour sauvegarder leur petit poste, en apportant une autre vision d’un Bélinguier qui se croit infaillible. Bélinguierne connait pas la marche arrière mais seulement la fuite en avant. Il y a 15 ans, à sa nomination, lors de sa première interview, il confiait à un journaliste : «J’ai trouvé un PMU doutant de lui-même.» Quinze ans après, le PMU ne doute plus. Il est ruiné.
S’il était interdit de démasquer tous ceux qui ont une réputation surfaite, parfois usurpée, où irait-t-on? Bien entendu, chaque fois que je porterai un jugement sur cet homme, et sur tous les présidents du PMU, Messieurs de Bellaigue, Germond, Bélinguier, sans oublier le plus grand usurpateur de tous, André Carrus, je prendrai quelques précautions. Mes accusations d’incompétence seront étayées de dates, de faits, de décrets, de négociations avortées, de contre-sens et de mise en évidence de gaffes monumentales dont la conséquence directe est l’inéluctable, et probablement irréversible chute du PMU.
Diffamer, avez-vous dit? Je ne diffame personne. Je ne fais que dire votre vérité. Je comprends que cela vous dérange. Dans l’impertinence, je n’irai jamais aussi loin que la presse de notre pays.
Quelle est la plus haute fonction présidentielle en France?
Et pourtant . . .
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3° - iPMU remet en question la notion d’Utilité Publique du PMU, société sous tutelle de l’Etat.
Je vous avoue que c’est l’argument qui m’a apporté la plus grande satisfaction. Je me suis exclamé ... bravo papa ! Je m’en explique.
Après la guerre 39/45, le PMU était comme la France . . . ruiné. Pendant toute la période 1945/1956, le président du PMU, André Carrus, qui n’avait pas été élu pour ses mérites, mais par voie d’héritage, (époux de la fille Oller) se lamentait lamentablement. Personnage surfait, dont je parlerai en détail dans un long chapitre qui lui sera entièrement consacré, apportant quelques preuves matérielles sous forme de lettres signées de sa main et autres détails incontournables, André Carrus était dans l’incapacité intellectuelle totale d’inventer quoi que ce soit.
(chapitre suivra)
Or il se trouve que ce n’est pas André Carrus qui a inventé les tickets et pinces à encocher, mais . . . mon père. (attention Génie!). Ce véritable «ordinateur manuel» invention qui vient modestement s’insérer entre le boulier des chinois, suivi de la «Pascaline» de Blaise Pascal, et 30 ans plus tard, de l’ordinateur personnel de Steve Jobs, a permis de faire jouer le Tiercé à 12 millions de français. Douze millions intramuros, dans une France moins surpeuplée, et sans l’apport des mises étrangères, cela correspond à plus de 15 millions de joueurs actuels. Chiffre à comparer avec celui du PMU actuel, qui se vante d’avoir 6,5 millions de clients pour l’ensemble de ses jeux, chiffre largement gonflé et en pleine déconfiture depuis que le PMU a étalé la confiture, en multipliant courses et jeux. Sans l’invention de mon père, le Tiercé serait resté dans les cartons, et le PMU dans une boîte en sapin.
Je vous rappelle, messieurs les amnésiques, que le Tiercé de l’époque a été surnommé un «impôt volontaire» et a apporté à l’Etat Français des sommes considérables, au point qu’un rapport émanant de l’INSEE, paru dans «Sport Complet», atteste que sans le Tiercé, les français auraient dû payer 5,71% d'impôts de plus. (Messieurs François Hollande, Stéphane Le Foll et Christian Eckert seraient heureux de pouvoir bénéficier de ces chiffres aujourd’hui).
Prenez conscience, Messieurs les présidents du PMU, que c’est en raison de cet énorme apport aux caisses de l’Etat, dû à l’invention de mon père, que le PMU a été promu «d’Utilité Publique». Vous comprendrez qu’en lisant vos accusations, je me sois exclamé . . . bravo papa!
Je vais ouvrir les yeux des différents ministres dont vous dépendez, et leur faire comprendre que le petit milliard que vous reversez à l’Etat chaque année (et qui va diminuer drastiquement, les enjeux étant en chute libre), est bien loin de l’apport du PMU de l’époque du Tiercé, conséquente à l’invention de mon père. Je vais faire comprendre à ces politiques que le PMU est devenu une énorme charge pour l’Etat, une usine à gaz totalement improductive, une machine à appauvrir tout le monde, à démotiver des centaines de milliers de joueurs par an, à casser leur moral, leurs foyers, à les ruiner, qu’il faut soigner, ce qui coûte à la France des dizaines de milliards, si mal contrebalancés par cette petite pincée . . . un minuscule milliard d’Euros, une goutte d’eau dans une France endettée de 2.000 milliards!
Vos points de vente sont jonchés de désoeuvrés, de traîne-savates, de va-nu-pieds même. Il m’arrive souvent de me faire taper de 1 ou 2 euros par des faméliques qui les rejouent sans discernement dans la course suivante, sous l’emprise de la plus profonde addiction, devenu un automatisme de leur propre destruction, reconduit de course en course par vos publicités fallacieuses. (Nous parions que vous allez gagner! Et le PMU perd plusieurs millions de paris par jour!). C’est cela la réalité de votre PMU. Quand je pense que vous avez osé tourner des petites scènes publicitaires, montrant l’ambiance festive de points de vente, virilité d’une part et grands éclat de rires de femmes heureuses de l’autre. Il n’y a aucune femme dans vos points PMU, ou si peu, et ce n’est pas la grande classe. Le Prix de Diane, c’est une fois par an, non pas dans les points de vente, mais à Chantilly, et là aussi, la crème du même nom s’est beaucoup affaissée.
Le PMU, par sa multiplication des courses et des jeux, pour faire tourner cette machine infernale, a inscrit dans ses rangs des dizaines de milliers de personnes supplémentaires, qu’on appelle des «socio-professionnels». Beaucoup d’entre eux ne sont pas tout à fait à niveau. Ils sont venus greffer leur incompétence au râtelier de cette manne céleste que sont les enjeux des addicts au jeu. Ces enjeux sont en train de se tarir par les excès mêmes du PMU. Ce flux de propriétaires de seconde zone, d’entraîneurs hésitants, de chevaux de trait, de mules, de percherons, pour alimenter 50 courses par jour, ont cassé l’image d’excellence du PMU. Ce dernier, pour survivre, se sert aujourd’hui ouvertement de la menace suprême . . . . la mise au chômage de 75.000 socio-professionnels, au moment même ou le Chef de l‘Etat a mis comme condition à sa reconduction la fameuse baisse de la courbe du chômage. Messieurs du PMU, ce n’est pas très élégant de tirer sur l’ambulance, fut-elle conduite par Monsieur Hollande.
Dans ce contexte intervient la célèbre comptine : «Je te tiens, tu me tiens par la barbichette. Le premier qui rira aura une tapette». Traduit en langage «hippo-litique» cela revient à dire : «Aidez-nous, messieurs les politiques, à maintenir en vie l’entreprise PMU totalement improductive, qui consiste essentiellement à prendre l‘argent des pauvres pour en faire des clochards, et l’argent des clochards pour en faire des mendiants, faute de quoi vous allez hériter d’une masse de 75.000 chômeurs socio-professionnels, que nous, les présidents du PMU avons artificiellement gonflée pour alimenter 50 courses par jour dans notre folle fuite en avant».
Relisez en boucle ce que je viens d’écrire, et prenez conscience de la cocasserie de cette situation. Vous êtes dans une «mer-de-noir», et aujourd’hui tout, absolument tout entrave votre résurrection. Vous le découvrirez dans mes cent prochains chapitres, si toutefois vous avez l’imprudence de me lire. Un tsunami se prépare à vous renverser, et vous n’en avez même pas conscience, sauf Germond qui s’est tiré vite fait, et Bélinguier qui semble à son tour avoir compris et nous fait une fausse sortie de dernière minute (Il nous prend vraiment pour des billes celui-là. Je vous en reparlerai). Dormez sur vos deux oreilles. Bonne nuit, messieurs du PMU. A demain pour un nouveau chapitre décrivant votre absurde façon de conduire une entreprise.
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Et puis, et puis . . .
Et puis, il y a eu cela !
suite des gaucheries du PMU