Ne vous trompez pas de direction, comme le PMU !

En bas de ce chapitre, la défense de iPMU, que le PMU voulait museler.

A droite, l’accès aux différents chapitres

qui vous apprendront la réalité du PMU>


En bref : Je suis un turfiste; un simple turfiste de 83 ans. J’ai l’âge du PMU. Mon père a été à l’origine de la réussite du Tiercé (1956). Son fils, Mister.Y, (Son nom importe peu. Il ne cherche ni honneurs ni argent) est un addict au jeu, sans ambition particulière, conservateur, étonné par l’évolution désastreuse du PMU, et probablement seul véritable archiviste de cette institution, s’étonne, s’indigne même de la dérive de ce qui fut la première «industrie» de France. Avant de «passer», il tient à en révéler les désastreuses erreurs à répétition de ses présidents, afin d’alerter le monde des courses. (turfistes, propriétaires, entraîneurs, jockeys, drivers, et surtout ministères de tutelle - Finances et Agriculture) et essayer de sauver ce qui peut encore l’être. Il est préférable de s’asseoir à une table de négociation et s’amender, plutôt qu’au tribunal des conséquences. Le temps presse. Il est même dépassé! Aucune course, pour rapide qu’elle soit, n’a jamais fait reculer les aiguilles d’une montre ne serait-ce que d’une seule seconde.



Changer de présidents ne suffit pas.

Il faut changer la façon de penser.


Think different! Au PMU on ne change jamais une équipe qui perd . . .



la tête.

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Ci-bas, iPMU tente de se défendre contre le PMU qui veut l’étouffer.



Oui, le PMU est tombé de cheval. Il s’est ramassé sur un terrain de foot. Il ne tient plus debout. On a dû l’asseoir à une table de poker. Il a perdu son âme. Il a transformé les turfistes en joueurs de hasard. Il a perdu une partie de sa clientèle et il est tout bonnement en train de faire faillite. L’enfer du jeu est en train de s’éteindre. Nous verrons cela plus loin.


Début 2013, j’ai ouvert le site contestataire iPMU.fr dans lequel je disais quelques vérités gênantes pour les dirigeants du PMU. (c’est le moins qu’on puisse en dire). En mai 2014, Philippe Germond, alors président du PMU, s’en est ému. Il m’a menacé de me faire un procès si le site était maintenu. Il est à remarquer qu’il existe de nombreux sites, moins documentés, mais en tous cas tout aussi virulents contre le PMU et ses erreurs à répétition qui sont en train de l’achever. Mon site iPMU est le seul qui ait gêné le PMU au point de vouloir m’intenter un procès. Curieux, non?


Sur ces injonctions, j’ai évidemment arrêté mon site, en informant Germond que j’allais prendre conseil auprès d’un avocat. Conforté dans mon bon droit par l’homme de loi, j’ai voulu réouvrir iPMU.fr. Malheureusement mes conditions de santé se sont dégradées. J’ai 83 ans, pratiquement l’âge du PMU. J’étais résigné. Puis, à ma grande surprise, la mort n’a pas voulu de moi. Elle me trouve trop vieux pour elle. Et voilà le retour du «Gedi», avec sa grande épée luminescente. Une fois de plus, le justicier des jeux d’argent s’est réveillé en moi.


Plus sérieusement, qui est ce . . . Mister.Y?  Je suis un homme, un humanoïde, du moins je le crois. J’ai 83 ans (je me répète un peu, c’est de mon âge), J’ai joué la première fois au PMU le jour de mes 16 ans, à une époque où la majorité était à 21 ans, et le PMU a laissé le gosse que j’étais perdre son argent. Je suis donc turfiste depuis 67 ans, qui dit plus mal? Mais hélas, ce n’est pas tout . . .


Ma famille, mon père surtout, a été intimement mêlé à la réussite du Tierce des années 1956 et suivantes, à tel point que cela m’a permis de dire tranquillement dans mon rapport et mon site précédents, et je le confirme ici :


Je dédie ce site à mon père.

A mon père sans lequel je ne serais pas.

A mon père sans lequel le PMU ne serait plus.


Cela peut vous sembler un peu grandiloquent. Je me charge de vous faire changer d’avis dans les prochains chapitres. J’ai également ajouté dans ces mêmes rapport et site une petite phrase qui prétend :


Je veux bien que ma passion pour les courses me tue.

Je ne permettrai à personne de tuer ma passion.


Je pense être un homme de parole. Je ne permettrai pas à des De Bellaigue, des Germond, des Bélinguier surtout, de se retirer avec les honneurs, après fortune faite et PMU défait.


Aujourd’hui, le PMU, gérant les courses de chevaux, le roi des sports, le sport des rois, ressemble fort à la fin de règne de Louis XIV. Il est en décomposition. Le point de non retour semble largement dépassé. Pour sauver le PMU, ce n’est pas un homme providentiel, du style Sarkozy, (???) qu’il y faudrait, mais un homme de la providence, un prêtre pour lui administrer l’extrême onction. Nous assistons aujourd'hui aux derniers soubresauts. Cela est une évidence pour tous, sauf pour les présidents du PMU.



Les menaces du PMU à mon encontre.



Avant d’aller plus loin, examinons les menaces de Philippe Germond à l’encontre de mon site «iPMU.fr»,

donc à mon encontre.

L’injonction de l’avocat du PMU porte essentiellement sur trois points, l’un plus étrange que l’autre. (Je suis tout seul à être ainsi attaqué. Ca cache quoi?)


1° - iPMU a piraté le sigle du PMU, et nous appartient.

2° - iPMU diffame les présidents du PMU.

3° - iPMU s’attaque et remet en question une entreprise sous tutelle de l‘Etat Français, reconnue et déclarée depuis le siècle précédent, «d’utilité publique».


Quand j’ai lu ça, le fauteuil à roulette de mon bureau n’a fait qu’un tour, et je me retrouve face à mon ordinateur, pour répondre d’un clavier léger, point par point  . . .



1° - iPMU a piraté le sigle du PMU ?

Depuis le début du millénaire, notre vie est totalement régentée par un petit truc appelé «Internet». La planète supporte 7 milliards d’individus. Si tout le monde devait vouloir ouvrir un site, il y faudrait 7 milliards de noms, alors que la langue française, par exemple,  n’en comporte pas 100.000, y compris les noms propres. (70 fois moins que la population mondiale). Ajoutons à cela que certains, dont je suis, ont déposé plusieurs noms de domaine. Internet est régi par des règles mondialement respectées par toutes les nations, avec lesquelles on ne plaisante pas. Le premier qui dépose un nom de domaine en est le propriétaire inexpugnable. Il peut évidemment l’abandonner ou même le revendre. Bien entendu, certains sites agressifs, raciaux, menaçants, prêchant la haine, le négationnisme etc. sont poursuivis, et la plupart du temps fermés. Ce n’est pas mon cas. Je ne fais que dénoncer les erreurs à répétition des présidents du PMU.


Dès l’explosion de la «bulle Internet», les premiers arrivés ont logiquement déposé leurs noms. C’est le cas pour le PMU - (PMU.fr - PMU.com etc.). Très vite les noms propres libres se tarirent. On a fait ensuite appel aux noms composés, du style «adopte.un.mec.com.», puis on a inventé de nouveaux noms, si possible «sonnant bien» pour être retenus par la foule amnésique. Aujourd’hui, dans cette course folle, mondiale, des ordinateurs tournent à plein régime pour inventer et breveter de nouveaux noms. Certains noms de domaine se revendent une fortune. C’est le cas de Messié, (éphémère patron de Vivendi), qui en l’an 2000, paya 24 millions de francs le nom «vis@vis». (3.600.000 euros).


Bien entendu, «imiter, c’est aussi contrefaire», à condition toutefois d’avoir une similitude phonique, ce qui n’est pas le cas ici (trois syllabes pour PMU contre quatre pour iPMU et l’initiale d’ordre alphabétique est différente). Mais surtout, nous n’avons pas la même activité. Le PMU vend des paris dans des conditions discutables. Je ne vends rien. Absolument rien. C’est indiscutable.


Dès 1983, j’ai été un grand admirateur de Steve Jobs, le croqueur de pommes, qui a changé le monde, en «pensant différemment» (Think different). Je possède d’ailleurs la quasi totalité des ordinateurs et tous les téléphones vendus par Apple. Malheureusement, ces inventions ont été dévoyées. Aujourd’hui, une foule de jeunes utilisateurs de l’iPhone le sollicitent 200 fois par jour pour dire «t’es où?», ou pour envoyer des «sms» constipés de fautes d’orthographe, ou pour découvrir le résultat de l’addition 1+1=2, ou pour atteindre un interlocuteur sans jamais exercer leur mémoire en essayant de se souvenir des numéros de téléphone. Un désastre qui va décérébrer l’ensemble de la population mondiale. Les rares individus qui échappent à cet alzheimer programmé, écrivent des programmes informatique, asservissement le monde et font fortune. Les autres appuient sur un bouton pour obtenir un service dont ils ignoraient avoir besoin une minute avant, et . . .  paiement.


Il y a environ 8 ans, dans un rapport «papier» de 145 pages touffues, que j’ai fait parvenir à 150 personnalités du monde hippique, présidents du PMU, journalistes hippiques, propriétaires, entraineurs significatifs, j’avais avancé une bonne centaine de critiques concernant le PMU et Paris-Turf. Je m’étais permis de dénoncer la gué-guerre entre ces deux-là et j’avais avancé une petite phrase qui disait :


Sans le PMU on ne peut pas faire courir.

Sans Paris-Turf, on ne peut pas jouer.


Cela bien avant l’épisode «Gény-Courses» et d’autres agressions du PMU qui ont affaibli ces deux institutions. Le PMU, comme d’habitude, a fichu mon rapport à la poubelle.


Curieusement, des rapports critiquant le PMU sont fort rares. Les turfistes isolés, addicts, sont trop occupés à perdre leur argent. Le Syndicat ANT, dirigé par Eric Intermann, somnole. J’ai dit de Intermann qu’il était le seul homme au monde qui hibernait même en été. Un autre syndicat plus récent, présidé par un jeune homme tombé de la dernière averse, insignifiant au point de ne pas le nommer, tente de s’asseoir sur un strapontin du PMU, plutôt que de le combattre. On lèche, on pourlèche. On vise les honneurs plutôt que le coeur du PMU. Quelques idées irresponsables en émanent. (Tout cela sera trituré dans mes prochaines pages).



En plus consistant, on note 3 rapports.


Il y a huit ans, mon rapport de 145 pages a été mis à la poubelle. (J’en résumerai les points principaux en un seul chapitre). Prémonitoire, très franchement, si plutôt que de le mettre à la corbeille, il avait été lu, le PMU n’en serait pas à ses derniers retranchements.


Puis, en 2012, François Fillon, alors Premier Ministre a demandé un rapport à Daniel Augereau. Homme de bonne volonté, équilibré, observateur, Augereau n’a toutefois pas su voir les raisons profondes qui mènent le PMU à sa perte. En revanche il a très bien perçu le petit jeu politico-politicien de bas étage, fomenté par une poignée d’arrivistes qui se sont emparés du PMU et l’ont mis sous séquestre de leur incompétence. Le rapport Augereau a fait très peur à Bélinguier et de Bellaigue. (Je suis à la recherche, dans mes énormes archives, de la photo où ces deux-là, la bouche en cul de poule, se lamentent de ne pas avoir reçu le rapport avant François Fillon qui l’avait commandé à Augereau (???) Je la publierai ici.). Puis le rapport Augereau est tombé à son tour aux oubliettes.


Puis, Paris-Turf, le 3 Janvier 2015, s’est fendu lui aussi d’un rapport. Ce petit «livre rouge à la Mao» décliné en << 85 propositions, démontre deux choses. D’une part que Paris-Turf a fini par comprendre, un peu tard, beaucoup trop tard, que le PMU les menait à la ruine et s’alarme maintenant sur son avenir et celui de son groupe. Mais surtout, ce rapport, basé paraît-il sur un sondage de 5.000 parieurs (et non turfistes), a abouti à une collection de voeux pieux, l’un plus aberrant que l’autre. (Je les éplucherai, mais je crains que le coeur de fruit ne tombe en épluchure.) Pour une fois je dois convenir que le PMU a bien fait d’ignorer ce rapport. S’il avait adopté les propositions de Paris-Turf, plutôt que d’agoniser pendant deux ou trois ans, le PMU aurait sombré en 6 mois.


Je ne suis pas le bon dieu, qui d’ailleurs, d’après moi, et je partage cette certitude avec moi-même, n’existe pas. Mais le passé de ma famille, mes 67 ans d’observation de ce foutu PMU, me permettent de me rapprocher tant soit peu de la vérité de cette institution. Etrange! Au moment même où j’écris ces lignes, ce 15/09/15,  j’apprends la disparition de Guy Béart. Son titre  «Il a dit la vérité,  il doit être exécuté» s’impose à moi. La plupart des vérités ne sont pas bonnes à dire, et aucune à écrire. Mettre mon rapport à la poubelle, sans même le lire; essayer d’étouffer mon site iPMU.fr ne font que démontrer l’inquiétude du PMU. Cette fois-ci j’ai pris quelques précautions. Je saurai vous faire regretter votre comportement agressif et irresponsable à mon égard.


Dans cette désorganisation moderne, les entreprises, les instances, les ministères, obéissent à une hiérarchie pyramidale stricte. Les présidents, les décideurs sont entourés d’une légion de sous-fifres qui est censée filtrer les informations pour ne pas déranger monsieur le président. Plus que probablement, mon rapport a été bloqué et mis à la poubelle par un incompétent, ou une incompétente, souvent secrétaire de direction, qui n’a pas su appréhender son contenu prémonitoire. C’est ainsi que je suis persuadé que Bélinguier, de Bellaigue, les ministres de l’époque (finances et agriculture), non seulement n’ont pas lu mon rapport, mais ne savent même pas qu’il a existé. En revanche à Bruxelles, le commissaire européen de l’époque chargé de prendre une décision dans le procès qui opposait le PMU aux sites maltais, a reçu mon rapport. Je n’ai pas eu de contact direct avec le Commissaire Charlie McCreevy, mais son plus proche secrétaire m’a assuré que mon rapport avait attiré son attention. Certains détails de son argumentation me confortèrent dans la certitude qu’il avait été lu. Toutefois, dans cette conversation, il m’a également laissé entendre que les lois de l’Europe sur les monopoles étaient incontournables. J’ai donc pris conscience, plus que probablement avant Bélinguier, et même avant le ministre de l’époque, Eric Woerth, Maire de Chantilly, la ville du cheval, que le PMU allait perdre le monopole des courses de chevaux en France, les monopoles étant interdits en Europe. Voir ma lettre au Commissaire de l’Europe, dans laquelle je prétendais que le Monopole du PMU était un «mal nécessaire» mais qu’il fallait l’assortir de certaines conditions pour restreindre ses excès dans tous les domaines. J’étais à l’époque «pro-PMU», pressentant que l’officialisation des sites maltais allait éparpiller les mises. Ce fut pire. Non seulement le PMU a perdu son procès face à Rohan Chabot (fondateur de Zeturf), perdant ainsi son monopole en France, mais le patron d’un autre site légalisé, a eu l’imprudence d‘intenter un procès au PMU et la malchance de le gagner. Après avoir perdu son monopole des courses en France, le PMU a perdu
également son monopole du Quinté sur Internet.


L’intelligent Rohan Chabot (pour une fois qu’il y a quelqu’un d’intelligent dans le circuit des courses, autant le signaler), s’en est ému. Dans une déclaration passée totalement inaperçue il s’inquiète et dit :



Chapeau Chabot ! (J’ai honte de ce jeu de mots à la Paris-Turf. Est-ce que vous trouvez cha-beau? A force d’acheter ce journal, il a déteint sur moi). En d’autres termes, après avoir gagné contre l’inconsistant Bélinguier, Chabot prévient ses collègues que le PMU est maintenant trop faible pour soutenir des attaques à répétition. (en italien : non si uccide l’uomo che caca - à vos dictionnaires) Trop l’agresser c’est scier la branche sur laquelle les sites privés sont assis. Judicieux le choix du verbe «abîmer», ruiner, détruire complètement, anciennement: pousser dans les abîmes.


Mais dans bien des domaines, les yeux sont plus grands que le ventre. A son tour, Chabot n’a pas été entendu. L’ensemble des sites s’est ligué contre le PMU, en «masse commune» et bien entendu, Paris-Turf, avec son site «Leturf.fr» empiétant largement dans le domaine de l’interdiction d’être à la fois juge et partie, s’est joint à ce mouvement. Messieurs de Paris-Turf, le jour où le PMU aura fait faillite, est-ce que c’est votre journal (maintenant vendu à moins de 30.000 exemplaires) qui va organiser les courses de chevaux? La seule course que ce canard puisse organiser, c’est la course au Pôle. Pas le Pôle Nord, non . . . La course à Pôle-Emploi !


(Vous trouverez l’essentiel du contenu de mon rapport de 145 pages dans un chapitre qui lui sera consacré. Désolé de vous faire attendre un peu, mais je suis tout seul à écrire toutes ces conneries, qui ne le sont pas toutes, d’ailleurs).



Un des chapitres de mon rapport de 145 pages prétendait : L’arme fatale. L’iPhone arrive! Et j'expliquais, bien avant l’heure, qu’un jour prochain la moitié des paris hippiques passeraient par ce petit boitier-là. Il est terrible d’avoir raison trop tôt. Par la suite, vous vous êtes emparés de l’iphone et des tablettes qui ont suivi et en avez fait le plus mauvais usage qui soit. En matière de développement informatique, vous étiez et vous êtes restés des béotiens. (je demande bien le pardon aux habitant de la Béotie, de les comparer aux irresponsables du PMU). Une chose est certaine, je vous avais informés de l’arrivée de cet objet et de son nom captivant, précédé de ce «i» comme «internet, ou «i» comme «information». Mon tonitruant L’arme fatale, L’iPhone arrive !» vous en avait averti!


Quand j’ai appris que l’iPhone allait être mis sur le marché aux US, je suis parti pour New-York avec un ami, afin de vivre ce moment historique. J’avoue que nous avions l’intention d’acheter une dizaine d’iPhones chacun, et ainsi payer largement notre voyage en les revendant avant leur commercialisation en France. Nous avons vécu des moments intenses, mais nous avons été contingentés à 3 iPhones chacun, ce qui malgré tout a amorti nos frais.


Je me rappelle également que deux mois plus tard, avec un autre ami qui m’avait acheté un iPhone, nous sommes allés narguer la foule qui attendait minuit tapantes sur les Champs Elysées, heure d’ouverture du magasin Orange, pour acheter les premiers exemplaires. Nous nous promenions le long d’une file d’attente de 300 mètres, en parlant sur le trottoir d’un iPhone à l’autre. Les attentistes de cette interminable queue voulaient absolument toucher l’iPhone, dire quelques mots, et évidemment nous demandaient comment nous avions fait pour l’obtenir avant les autres. (Un tel comportement à 73 ans, me fait dire que quand on est con, on le reste à tout âge. Un rien m’amuse. Dès lors, le PMU, Paris-Turf m’amusent. J’aurais dû me méfier. La connerie est contagieuse. Vous me l’avez refilée).


Or, non seulement vous n’avez pas tenu compte de ma «prédiction» : «L’arme fatale, l’iPhone, arrive . . . », mais dans votre insouciance, dans votre imprévoyance, vous n’avez pas breveté «iPMU». En 8 ans, (huit longues années) il ne vous est pas venu à l’esprit (esprit es-tu là? . . .  et ce fichu guéridon qui refuse de tourner) . . . venu à l’esprit de le déposer. Il faudrait peut-être déposer votre «responsable en communication». Devant votre désintéressement, 8 ans après, j’ai déposé iPMU.fr et «je-me-le-garde!». Mieux . . . j’avais breveté également iPMU.com mais jugeant que le PMU était une «impertinence» bien française, je me suis contenté de iPMU.fr et j’ai abandonné iPMU.com à son sort.


Je ne l’ai pas revendu, m’interdisant à jamais dans la démarche qui est la mienne de demander, de gagner le moindre euro sur internet. Je pensais que vous vous seriez jetés dessus pour vous en emparer. Pas du tout. Quelqu’un d’autre l’a fait à votre place et l’a mis aux enchères. Il atteindra plusieurs milliers d’euros.


D’ailleurs, iPMU est déposé dans toutes les extensions étrangères. Mis à part iPMU.fr, (mon site), une bonne vingtaine de «iPMU» sont déposés par des privés ou des associations très diverses. D’autres sites encore sont venus se greffer sous des appellations comportant une prolongation, du genre «iPMU‘2014, 2015 etc». Je ne vois pas comment le PMU pourrait interdire toutes ces activités sous prétexte que les initiales «PMU» sont contenues dans un autre nom. On ne peut pas faire une exception, juste pour mon site.


Tout cela met en évidence que votre «chargé de communication» est un nullard à nul autre pareil. Il faudrait peut-être le mettre bruyamment dehors. Il est à remarquer qu’il n’est pas pire que l’ensemble des dirigeants du PMU. Cela ne se peut. Vous êtes, les uns et les autres, à fond de cale. Pour aller plus bas, il vous faudrait creuser profond. Le PMU est un amoncellement d’incompétences, tenant miraculeusement ensemble par quelques rustines, quelques fils de fer torsadés, le tout maintenu artificiellement en surface par la ferveur des turfistes que Bélinguier à commués en joueurs de hasard. Ca ne va pas durer.


Les anciens turfistes sont morts de vieillesse, de maladie ou de faim.
Les jeunes joueurs de hasard qui les ont remplacés, se sont aperçus qu’il y avait tout à perdre et rien à gagner au PMU, et se tirent vers les jeux sportifs, le poker, ou désertent pour la FdJ. Le PMU est tombé de cheval et il est incapable de se relever. Il va sombrer, comme le Titanic, que Germond a si inélégamment parodié dans sa publicité.


Allons un peu plus loin dans cette histoire de sigle.  iPMU signifie :


information aux Parieurs Mécontents Universels


Je vais d’ailleurs m’attaquer au foot et au poker, que le PMU a osé faire côtoyer avec les grands propriétaires, les grands entraineurs, les princes, les nobles, les capitaines d’industrie, les politiques. Sacré Germond va! Il n’a jamais rien compris à rien, celui-là! Erreur capitale. Cette promiscuité entre les grands de ce monde, et ces tapeurs de ballon et tapeurs de carton, est l’une des principales raisons de la désaffection des propriétaires. Ces derniers consentaient de bon coeur à perdre la moitié de leurs investissements à condition de se retrouver dans une ambiance de prestige, appuyée par des télévisions de prestige, une presse de prestige. Equidia est comparable à une chaine de toilettes (un jour de courante
, bien entendu. Sur Equidia, ce ne sont pas tant les chevaux qui courent, mais les turfistes qui courent d’une course à l’autre.). Le leitmotiv  des pauvres présentatrices essoufflées consiste à dire : Filons à xxx, nous sommes en retard. Et Paris-Turf acquiesce et torchonne. Vous parlez d’un prestige. Le PMU tente désespérément de compenser la désaffection des propriétaires par des écuries de masse. Cela va encore aggraver la situation. Je vois mal 200 «turfistes» mal fagotés, se pavaner sur un rond de présentation parmi les chapeaux-claque, sous prétexte qu’ils sont chacun propriétaires d’un steak de cheval à 50 euros. Et le Bélinguier qui n’a aucun sens des proportions, applaudit à deux mains le fait que la plus grande écurie de masse ait atteint une capitalisation de 600.000, (avant faillite programmée), alors qu’aux dernières enchères de Deauville, un seul poulain a atteint le prix de 1.600.000 . L’équilibre fragile, intime des courses de chevaux a été piétiné par tous ces gros sabots présidentiels.



Par ailleurs, que signifie donc le sigle PMU

Pari Mutuel Urbain ?       Pas du tout !


Pari?  Désolé, on ne parie pas sur le jeu de hasard qu’est devenu le PMU de Bélinguier. On joue plutôt au SpOt, à la Tirelire, tous deux basés sur un tirage au sort.


Mutuel? Qu’est devenue la «mutualité» dans votre histoire?  Elle a été pulvérisée, anéantie. Des avantages ponctuels autant dans leur géo-localisation que dans la promotion de tel ou tel jeu qui se casse la gueule. Des milliers de joueurs qui entrent dans un jeu d’argent sans payer. Des avantages à ceux qui jouent plus, au détriment des plus pauvres qui n’ont que quelques euros à perdre. Cela est aux antipodes du «mutualisme» Je m’en expliquerai longuement plus loin dans un chapitre qui lui est consacré. Je vous réserve des surprises.


Urbain? A la ville, par opposition au PMH (Paris Mutuel Hippodromes), que le PMU a acculé à la faillite avec ses chaînes Equidia de médiocre qualité, son site Internet tarabiscoté. La disparition du PMH marque ce qu’on appelle «le début de la fin». (Curieusement c’est au moment où j’écris ces lignes, que les employés du PMH, la larme à l’oeil, ont définitivement fermé boutique à Vincennes. C’est prémonitoire. C’est ce qui risque d’arriver à tous les autres guichetiers du PMU). Le PMU n’est pas seulement à la ville, mais partout. Bientôt on trouvera des machines à jouer dans les lieux d’aisance, à hauteur du Saint-Siège, avec bien entendu la double fonction de distributeur de tickets PMU et de dévideur de PQ.


PMU est un acronyme qui de changements en virevoltes, a finit par dire le contraire de son apostolat initial. Tout comme le dit Charles Aznavour à la fin de sa chanson «La Bohème»: «La Bohème, ne veut plus rien dire du tout.» le sigle PMU lui aussi ne veut plus dire grand-chose. Ca m’ennuie un peu. Je m’étais lancé dans un de ces jeux de mots douteux dont j’ai le secret . . .


«UMP et PMU», même combat perdu». Et voilà que l’UMP change de nom et devient «Les Républicains». Plutôt que de vouloir m’interdire iPMU, le PMU ferait mieux de copier l’UMP et de changer à son tour de nom et de sigle. Le sigle PMU est galvaudé, évocateur de perte, de vice du jeu, d’addiction, de misère. Je peux aider à trouver un autre nom et lui refaire une virginité, gratuitement s’entend.


Enfin, en tant que client et victime du PMU depuis 67 ans, pour
donner mon opinion, pour critiquer le PMU, (et il s’y prête si facilement) il me faut bien le nommer et parfois reproduire le graphisme de son sigle, qui est affiché partout, sur la voie publique. Tant que je ne lui fais pas une concurrence directe, je ne vois pas en quoi on pourrait me l’interdire. Je rappelle que dans mon site, je ne prends pas de paris, je ne vends rien, je ne touche aucun revenu publicitaire, je ne fais pas de fausses promesses, je ne ruine personne, comme le fait le . . . PMU.



Il est à remarquer que c’est justement cette photo (ci-haut) qui a été visée dans la plainte du PMU. Il s’agit d’une photo prise dans la rue. Or la rue est le domaine publique, et si le PMU veut éviter la reproduction de son sigle, il lui suffit de le supprimer sur les 13.000 points de vente et le mettre seulement à l’intérieur de ses propres locaux.


La deuxième photo visée par cette plainte comporte un cratère de volcan, (voir ci-contre). Or il ne s’agit pas de la reproduction du sigle PMU, mais d’une de mes compositions.

(pas si mal d’ailleurs, j’ai déjà fait pire). Essayez de vous améliorer, Messieurs du PMU. faute de quoi vous allez perdre votre prochain procès contre iPMU.fr. Cela me ferait de la peine. «A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire».  (Le Cid).


Si en tant que critique je choisis de parler du PMU, je ne peux pas l’appeler l’UMP. (UMP, PMU, même combat perdu).


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2° - iPMU diffame les présidents du PMU ?


Faut voir comment ils se la pètent ces présidents-là! Prenons un dico, c’est parfois utile. Diffamer: porter atteinte à la «fama», à la réputation. Synonymes: souiller, dénigrer, ternir, calomnier, salir, vilipender.


Or de deux choses l’une. Où on vient à l’encontre de l’évidence la plus élémentaire, universellement admise, et dans ce cas, c’est une diffamation.  Exemple : Gandhi a la réputation de chantre de la non-violence. Si je l’accuse d’être un «serial killer», muni de kalachnikov, (qui n’existait pas à l’époque), c’est évidemment une diffamation.


En revanche, j’accuse ouvertement M. Bertrand Bélinguier (et autres) d’être responsable de la ruine du PMU, en raison de ses décisions inconscientes, de ses erreurs MAJUSCULES à répétition, dont je donnerai l’interminable liste et une analyse objective, alors que depuis 20 ans il a soigné son image de marque, tous sourires dehors, se glissant au milieu de toutes les photos et s’est ainsi construit une réputation de Grand Sauveur du PMU tout à fait usurpée.  C’est mon bon droit de vous faire la démonstration que tout au contraire, cet homme est «LE» destructeur du PMU. Je vais attirer l’attention de tous ceux qui l’admirent, le vénèrent ou le craignent pour sauvegarder leur petit poste, en apportant une autre vision d’un Bélinguier qui se croit infaillible. Bélinguierne connait pas la marche arrière mais seulement la fuite en avant. Il y a 15 ans, à sa nomination, lors de sa première interview, il confiait à un journaliste : «J’ai trouvé un PMU doutant de lui-même.» Quinze ans après, le PMU ne doute plus. Il est ruiné.


S’il était interdit de démasquer tous ceux qui ont une réputation surfaite, parfois usurpée, où irait-t-on? Bien entendu, chaque fois que je porterai un jugement sur cet homme, et sur tous les présidents du PMU, Messieurs de Bellaigue, Germond, Bélinguier, sans oublier le plus grand usurpateur de tous, André Carrus, je prendrai quelques précautions. Mes accusations d’incompétence seront étayées de dates, de faits, de décrets, de négociations avortées, de contre-sens et de mise en évidence de gaffes monumentales dont la conséquence directe est l’inéluctable, et probablement irréversible chute du PMU.


Pour qui se prennent-ils donc tous ces petits présidents du PMU?  Les grands présidents, on les connait. Ils sont moins de 100 de par le monde. Ils sont généralement de grands capitaines d’industrie. Leurs mérites sont rémunérés en dizaines de millions d’euros par an. Le PMU n’en a connu qu’un seul de cette envergure, le Patron de Matra, Jean-Luc Lagardère, disparu trop tôt dans des conditions restées mystérieuses
. Prenez conscience, Messieurs les petits présidents du PMU, que je ne vais pas me priver d’arguments pour vous dégommer, pour déboulonner vos statues de leurs piédestals. Le PMU n’a vraiment pas eu de chance de tomber entre vos mains inexpertes.


Diffamer, avez-vous dit? Je ne diffame personne. Je ne fais que dire votre vérité. Je comprends que cela vous dérange. Dans l’impertinence, je n’irai jamais aussi loin que la presse de notre pays.


Quelle est la plus haute fonction présidentielle en France?

Et pourtant . . .



Et dites vous bien, Messieurs les présidents du PMU, que j’ai choisi les moins inconvenantes de mes 500 photos de Hollande. En comparaison, je trouve votre susceptibilité un peu constipée.


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3° - iPMU remet en question la notion d’Utilité Publique du PMU, société sous tutelle de l’Etat.


Je vous avoue que c’est l’argument qui m’a apporté la plus grande satisfaction. Je me suis exclamé ...  bravo papa ! Je m’en explique.


Après la guerre 39/45, le PMU était comme la France . . . ruiné. Pendant toute la période 1945/1956, le président du PMU, André Carrus, qui n’avait pas été élu pour ses mérites, mais par voie d’héritage, (époux de la fille Oller) se lamentait lamentablement. Personnage surfait, dont je parlerai en détail dans un long chapitre qui lui sera entièrement consacré, apportant quelques preuves matérielles sous forme de lettres signées de sa main et autres détails incontournables, André Carrus était dans l’incapacité intellectuelle totale d’inventer quoi que ce soit.


Pourtant on lui attribue l’invention du Tiercé (faux, archi-faux), et surtout l’invention des tickets et pinces à encocher, qui ont permis de démocratiser le Tiercé à une époque ou l’ordinateur n’existait pas. Or cet homme avait une carence évidente de matière grise. Il le prouve lui-même plus tard dans ses démêlés avec Patrice Des Moutis, (Monsieur X) et Edgard Pizani (ministre de l’agriculture de l’époque, tutélaire du PMU).

(chapitre suivra)



Or il se trouve que ce n’est pas André Carrus qui a inventé les  tickets et pinces à encocher, mais . . . mon père. (attention Génie!). Ce véritable «ordinateur manuel» invention qui vient modestement s’insérer entre le boulier des chinois, suivi de la «Pascaline» de Blaise Pascal, et 30 ans plus tard, de l’ordinateur personnel de Steve Jobs, a permis de faire jouer le Tiercé à 12 millions de français. Douze millions intramuros, dans une France moins surpeuplée, et sans l’apport des mises étrangères, cela correspond à plus de 15 millions de joueurs actuels. Chiffre à comparer avec celui du PMU actuel, qui se vante d’avoir 6,5 millions de clients pour l’ensemble de ses jeux, chiffre largement gonflé et en pleine déconfiture depuis que le PMU a étalé la confiture, en multipliant courses et jeux. Sans l’invention de mon père, le Tiercé serait resté dans les cartons, et le PMU dans une boîte en sapin.


Je vous rappelle, messieurs les amnésiques, que le Tiercé de l’époque a été surnommé un «impôt volontaire» et a apporté à l’Etat Français des sommes considérables, au point qu’un rapport émanant de l’INSEE, paru dans «Sport Complet», atteste que sans le Tiercé, les français auraient dû payer 5,71% d'impôts de plus. (Messieurs François Hollande, Stéphane Le Foll et Christian Eckert seraient heureux de pouvoir bénéficier de ces chiffres aujourd’hui).


Prenez conscience, Messieurs les présidents du PMU, que c’est en raison de cet énorme apport aux caisses de l’Etat, dû à l’invention de mon père, que le PMU a été promu «d’Utilité Publique».  Vous comprendrez qu’en lisant vos accusations, je me sois exclamé . . . bravo papa!


Messieurs du PMU, venir reprocher au fils de nuire à l’image de marque conférée au PMU par son propre père, est chose peu commune. Légèrement paradoxal.  Même les chevaux en rigolent. Cela d’autant plus que par vos erreurs et gaffes à répétition, vous êtes indiscutablement les responsables de l’inversion totale de la notion d’Utilité Publique, en inutilité publique, pire, maintenant en . . . nuisance publique. Vous étiez les gérants du PMU. Vous êtes devenus des ingérants dans la vie des turfistes que vous avez commués en vils parieurs de hasard et que vous ruinez sans vergogne.


Je vais ouvrir les yeux des différents ministres dont vous dépendez, et leur faire comprendre que le petit milliard que vous reversez à l’Etat chaque année (et qui va diminuer drastiquement, les enjeux étant en chute libre), est bien loin de l’apport du PMU de l’époque du Tiercé, conséquente à l’invention de mon père. Je vais faire comprendre à ces politiques que le PMU est devenu une énorme charge pour l’Etat, une usine à gaz totalement improductive, une machine à appauvrir tout le monde, à démotiver des centaines de milliers de joueurs par an, à casser leur moral, leurs foyers, à les ruiner, qu’il faut soigner, ce qui coûte à la France des dizaines de milliards, si mal contrebalancés par cette petite pincée . . . un minuscule milliard d’Euros, une goutte d’eau dans une France endettée de 2.000 milliards!


Vos points de vente sont jonchés de désoeuvrés, de traîne-savates, de va-nu-pieds même. Il m’arrive souvent de me faire taper de 1 ou 2 euros par des faméliques qui les rejouent sans discernement dans la course suivante, sous l’emprise de la plus profonde addiction, devenu un automatisme de leur propre destruction, reconduit de course en course par vos publicités fallacieuses. (Nous parions que vous allez gagner!  Et le PMU perd plusieurs millions de paris par jour!). C’est cela la réalité de votre PMU. Quand je pense que vous avez osé tourner des petites scènes publicitaires, montrant l’ambiance festive de points de vente, virilité d’une part et grands éclat de rires de femmes heureuses de l’autre. Il n’y a aucune femme dans vos points PMU, ou si peu, et ce n’est pas la grande classe. Le Prix de Diane, c’est une fois par an, non pas dans les points de vente, mais à Chantilly, et là aussi, la crème du même nom s’est beaucoup affaissée.


Le PMU, par sa multiplication des courses et des jeux, pour faire tourner cette machine infernale, a inscrit dans ses rangs des dizaines de milliers de personnes supplémentaires, qu’on appelle des «socio-professionnels». Beaucoup d’entre eux ne sont pas tout à fait à niveau. Ils sont venus greffer leur incompétence au râtelier de cette manne céleste que sont les enjeux des addicts au jeu. Ces enjeux sont en train de se tarir par les excès mêmes du PMU. Ce flux de propriétaires de seconde zone, d’entraîneurs hésitants, de chevaux de trait, de mules, de percherons, pour alimenter 50 courses par jour, ont cassé l’image d’excellence du PMU. Ce dernier, pour survivre, se sert aujourd’hui ouvertement de la menace suprême . . . . la mise au chômage de 75.000 socio-professionnels, au moment même ou le Chef de l‘Etat a mis comme condition à sa reconduction la fameuse baisse de la courbe du chômage. Messieurs du PMU, ce n’est pas très élégant de tirer sur l’ambulance, fut-elle conduite par Monsieur Hollande.


Dans ce contexte intervient la célèbre comptine : «Je te tiens, tu me tiens par la barbichette. Le premier qui rira aura une tapette». Traduit en langage «hippo-litique» cela revient à dire : «Aidez-nous, messieurs les politiques, à maintenir en vie l’entreprise PMU totalement improductive, qui consiste essentiellement à prendre l‘argent des pauvres pour en faire des clochards, et l’argent des clochards pour en faire des mendiants, faute de quoi vous allez hériter d’une masse de 75.000 chômeurs socio-professionnels, que nous, les présidents du PMU avons artificiellement gonflée pour alimenter 50 courses par jour dans notre folle fuite en avant».


Relisez en boucle ce que je viens d’écrire, et prenez conscience de la cocasserie de cette situation. Vous êtes dans une «mer-de-noir», et aujourd’hui tout, absolument tout entrave votre résurrection. Vous le découvrirez dans mes cent prochains chapitres, si toutefois vous avez l’imprudence de me lire. Un tsunami se prépare à vous renverser, et vous n’en avez même pas conscience, sauf Germond qui s’est tiré vite fait, et Bélinguier qui semble à son tour avoir compris et nous fait une fausse sortie de dernière minute (Il nous prend vraiment pour des billes celui-là. Je vous en reparlerai). Dormez sur vos deux oreilles. Bonne nuit, messieurs du PMU. A demain pour un nouveau chapitre décrivant votre absurde façon de conduire une entreprise.


 


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Et puis, et puis . . .


Et puis, il y a eu cela !


Mercredi 7 janvier 2015,  notre 11 septembre, s’est-on exclamés


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