PMU-Roman-Fleuve.  PMU-Bérézina.

Le contenu de ce site est une pure fiction.

C’est un Roman Fleuve appelé PMU-Bérézina.

  

On peut tout faire dire à une fiction Un film tout récent, retraçant la vie romancée de Grace Kelly, (superbement interprété par Nicole  Kidman) déplaît passablement à  «Monseigneur de Monaco». 

Un autre film, relatant les     aventures sexuelles de Lady Di,

a offusqué la Reine d’Angleterre.

Plus modestement, mon roman-fleuve bouscule un peu, si peu le PMU, à la différence près que ces deux films ont des visées commerciales, alors que mon site est totalement désintéressé. Je ne demande rien à quiconque.

Cherchez le mobile! Je suis peut- être un turfiste légèrement contrarié par le PMU. Va savoir. . .


Le pitch.  (comme dirait Thierry Ardisson)De quoi s’agit-il donc?


C’est l’histoire romancée d’un PMU qui s’écroule, malgré des bénéfices d’environ 30 milliards d’euros depuis le début de ce siècle, (dont une partie reversée à l’Etat) avidement extirpés des poches de misérables addicts que j’ai appelés dans mon roman : “turfistes”. Oui, les turfistes de mon roman sont les esclaves de leur vice, des addicts qui perdent tous les ans environ 2,5 milliards, et en 12 ans, le très contraignant «régime» Bélinguier, à coups de publicités mensongères, les a amaigris au point de les rendre faméliques. (une fiction vous dis-je). Une de ces histoires à dormir debout, que personne ne croirait, tellement elle sonne faux, sauf aux yeux d’une petite minorité de 6.500.000 turfistes qui pensent tous et en même temps en avoir été les victimes. Coïncidence, je vous dis. Coïncidence tout cela. C’est fou ce qu’on peut mentir dans un roman. Si vous saviez à quel point j’aime mentir . . . 


Tout ce qui est reporté dans ce site est un faux semblant en trompe l’oeil, tout en clair-obscur (obscur surtout) et doit être appréhendé comme tel. Les faits relatés sont si distants de la vraisemblance, qu’ils

ne peuvent humainement sortir que d’une tête déshumanisée . . . la mienne. Dès lors cela leur confère un subtil cachet de vérité cachée. On ne peut pas tout inventer. Tout feu comporte de légères volutes de fumée. La désaffection de 6.500.000 de turfistes qui ont décidé tous et en même temps, soit de moins jouer (tout comme moi - je ne joue presque plus, ce ne sont pourtant pas le moyens qui me manquent - vous m’avez guéri, merci), soit de ne
plus jouer du tout, soit de se retourner vers le foot, le poker ou la FdJ, n’est que pure coïncidence, qui risque de chagriner les présidents du PMU et leur donner, à tort, un faux air de vrais faux . . . . (mettez ici le terme que vous voudrez); un succès de mésestime qui pourrait les troubler; leur fiche mauvaise conscience. Dans ce roman, toute invraisemblance avec des personnages réels existants, ou ayant existé, n'est que pure coïncidence; seuls les noms sont réels ainsi que les faits, les photos, les discours «langue-de-bois» et les airs de Fuck-You. On peut tout écrire dans un roman, même l’inverse du contraire de la vérité. C’est fou ce qu’un roman peut romancer.



Après 18 ans de gestion Bertrand Bélinguier, voilà ce qui reste du PMU.

Des luttes intestines, des batailles rangées.
Des conflits d’intérêt.


Un champ de ruines.


Un PMU en feu. Une impossibilité de faire marche-arrière.


      







Un moulin de Longchamp

tout déplumé.

Des bâtiments qui s’écroulent.


Le PMU a mal traversé sa crise-Bérézina.


Le PMU va perdre la guerre contre la FdJ.


Le PMU tire ses dernières cartouches. Il tire à bout portant sur les derniers turfistes. Ses tirailleurs les «tirelirent». Les turfistes se tirent ailleurs.


C’est la mort du petit cheval dans les bras des deux Sociétés Mères et celle des turfistes dans les bras du PMU.


Maintenant que je vous ai mis en garde contre les idée malintentionnées de ce site, vous allez pouvoir le visiter sans danger, malgré mon talent de savoir cacher dans chaque mensonge, une petite part de vérité.


Un mensonge qui veut mentir, ne peut dire que la vérité.


                                                                   Mister.Y  08/05/14




La Bérézina.

Ne pas confondre la Bérézina avec Vercingétorix ou Charles-Magne. Ce n’est pas vieux, la traversée de la Bérézina. C’est en 1812, soit un peu plus de 200 ans. Avant-hier!


Il y a une double lecture liée à la Bataille de la Bérézina. Certains retiennent que la campagne de Russie est une grande victoire de Napoléon. Tout au contraire, la croyance populaire l’assimile à un désastre. Et en effet c’est à la fois l’un et l’autre. Il faut convenir que Napoléon était meilleur législateur que stratège (Le Code Napoléon régit encore une grande partie de nos lois et organisations). Néanmoins, le Grand Homme n’a pas su prévoir que les russes iraient jusqu’à mettre le feu à la ville de Moscou pour affamer l’armée française et la couper de toute retraite. Autre imprévision fatale, le froid glacial. La date fut mal choisie. La grande bataille de la Bérézina a eu lieu en  . .  novembre 1812. Lors de la «Retraite de Russie, on meurt de faim et de froid. On «bouffe» les chevaux.


De tous temps, il faudrait se méfier des russes.


En 1802, ils ont coupé la retraite de l’armée napoléonienne.


De 1867 à 1917, ils ont émis des emprunts, jamais remboursés, qui ont ruiné des millions de petits porteurs.


En  1945, ils sont les véritables vainqueurs de l’armée hitlérienne. S’il est vrai que les américains, piqués dans leur orgueil par l’attaque Japonaise de Pearl Arbour, on fini par entrer en guerre et délivrer l’Italie et la France, ce sont les russes qui se sont «tapés» le gros morceau . . . l’Allemagne, et ont payé de 11 millions de morts militaires cette victoire. (auxquels il faut jouter 16 millions de morts civils soit 27 millions en tout).


En 1962, ces mêmes russes ont failli déclencher une guerre atomique à Cuba  et seule la détermination de John F.Kennedy a su arrêter la folie de Khrouchtchev.


Méfiez-vous des russes. Ils sont de redoutables joueurs d’échecs. Poutine a une bonne dizaine de coups d’avance sur bien d’autres politiciens. Devinez à qui je pense.


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En 2013, concernant John F. Kennedy, il s’est trouvé un grand ignorant de tout et du reste, un incertain Philippe Germond, promu au rang  de président du PMU, (dieu et moi savons comment) pour exploiter cyniquement l’assassinat de Kennedy à des fins commerciales, et ainsi tenter de vendre des paris PMU au travers d’une publicité qui parodiait Jacqueline Kennedy, le tailleur rose ensanglanté, qui dans un désespoir absolu rampait sur le capot arrière de la limousine (photo de gauche) et essayait de rassembler les morceaux du cerveau de son mari. Une des scènes les plus poignantes de ce triste bas, très bas monde. A droite, la parodie immonde de Germond qui a prétendu faire là de l’humour décalé. C’est plutôt Germond qui est décalé de l’humour. Pour s’enrichir, il y a des limites à ne pas franchir.

Le film publicitaire a repris (photo de droite) le même tailleur rose, le même chapeau. Souci du détail atroce, M. Germond. Atroce!


Ci-bas, une photo que n’a jamais été publiée. Je l’ai dénichée dans un film amateur. C’est le moment précis où Jacqueline se retourne sur John, qui vient de recevoir une balle dans la tête. La décapotable accélère pour se mettre hors de portée d’un deuxième tir, et le tourbillon forme ainsi autour du couple un halo de gouttelettes de sang. L’homme qui nous a évité une guerre atomique; l’homme qui a hissé l’humanité jusque dans la lune, vient de mourir. Germond, dans sa publicité de merde, l’a tué une deuxième fois.


Je suis très étonné que l’agence publicitaire du PMU, (Publicis je crois savoir), se soit prêtée à cette bassesse. C’est plus que cela d’ailleurs. C’est ignoble, inacceptable, parfaitement dégueulasse.  Marcel Bleustein-Blanchet, fondateur de Publicis, doit se retourner dans sa tombe. En matière de publicité, comme dans bien d’autres domaines, le PMU ne tombera pas plus bas. Il racle le fond. Je n’en crois pas mes yeux. Je me les frotte. Il n’est pas possible que pour faire du fric on tombe aussi bas. Et pourtant . . .



Passons du Petit Napoléon au Grand Bélinguier. Ce dernier pour justifier son rang de président du PMU, s’est lancé dans une série de réformes, l’une plus crétine et inconsciente que l’autre. Hasard, tirelire, SpOt, limitation des gains au Quinté, multiplication des bonus, multiplication des courses à l’extrême, flexi, exportation cynique, sans retour de l’argent des turfistes sur 100 hippodromes étrangers, et j’en passe, et des pires. (toutes choses traitées dans mes différents chapitres).


Attention ici, ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écrit. Ce sont les réformes de Bélinguier qui sont plus crétines les unes que les autres, et non Bélinguier en tant que personne. Je ne me permettrais pas. Bélinguier n’en est que le véhicule, le moyen de transport, souvent involontaire. Je suis parfaitement conscient qu’il n’a aucune idée des conséquences de ces «crétinades-là!» Bélinguier est un homme de bonne volonté. Il croit bien faire.


Tout comme pour l’armée napoléonienne à la Bérézina, la retraite du PMU est aujourd’hui pratiquement impossible. Il faudrait avant tout que Bélinguier prenne la sienne et se fasse oublier. (Poursuivons notre chemin sans lui. On ne l’oubliera pas. Il nous a marqués au fer à cheval rouge). On peut encore supprimer la tirelire, raviver le Quinté (je donnerai ma vision de la chose), diminuer le nombre de courses, supprimer la plupart des bonus, unifier les mises, (supprimer les flexi). Mais comment éradiquer le cancer des courses . . . le SpOt? Savez-vous que ce SpOt (vile copie du loto-flash de la FdJ), a transformé les turfistes en joueurs de hasard? Aujourd’hui, plus personne (et encore moins les pronostiqueurs), ne sait «faire le papier». D’ailleurs, il n’y a plus de «papier». Il n’y a plus que quelques torchons, dont Paris-Turf et Gény-Courses. C’est cela, la Bérézina du PMU. Ici, un pleurs de votre part serait de bon aloi.






           Permettez moi

           de vous tendre un kleenex

    


                           Mister.Y  09/05/14



(ajout du 25/05/15)


Depuis la rédaction de ce chapitre, (mai 2014) Bélinguier ne pouvant absolument plus tenir devant l’ampleur du désastre, sort du PMU et nous abandonne à notre triste sort. Il part en fin d’année 2015. J’en parle dans un article que j’ai appelé  «La fausse sortie de Bélinguier»


Il est important de remarquer que si Napoleon n’avait pas tenté de prendre Moscou, cette ville n’aurait pas été incendiée et ne serait pas la métropole «moderne» (?) que l’on connait aujourd’hui. Poutine devrait ériger une statue de Napoleon au centre de la Place Rouge. Est-ce qu’il faut considérer pour autant que Bélinguier est un grand visionnaire? En mettant à mort le PMU, il permet sa renaissance dans quelques années, tout comme cela a été le cas après la faillite de la Loterie Nationale. Les tickets des «Gueules Cassées» qui se sont cassé la gueule, en raison de l’invention de mon père, (je vous en parlerai ailleurs) et sont revenus en force sous le nom de Française des Jeux. Le succès du PMU entre 1960 et la fin de millénaire est l’oeuvre de mon père. Il a donné au PMU le monopole absolu, non pas des courses, mais carrément des jeux d’argent en France!  La maladresse des présidents du PMU a permis à la FdJ de revenir en force.


Le désastre qui s’en est suivi (début de millénaire), est celui de Bélinguier. La petite différence entre la FdJ et le PMU, c’est que les boules de la FdJ ont pu attendre en sommeil quelques années. «Elles ne mangent pas de pain». En revanche, les chevaux ça mange de l’avoine. A moins qu’on ne les mange et que, le progrès foudroyant des technologies le permettant, les courses ne soient plus tard que virtuelles. Dans certains pays, elles le sont déjà. J’avais évoqué cette éventualité dans mon rapport de 2005! On m’a traité de fou. L’excentrique Salvador Dali a dit : «La différence entre un fou et moi, c’est que je ne suis pas fou». (Le point commun entre Dali - que j’ai souvent rencontré -  et moi, c’est que je ne suis fou au point de me prendre pour Dali).


Messieurs  les Propriétaires, les Entraîneurs, les Jockeys, les Drivers, les Socio-Professionnels, vous avez le bonjour de Mister.Y  (25/05/15)



Dans la vie, peu de choses sont sincères et authentiques. Parmi celles-là, le contenu du site iPMU.






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