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hippiques
ambiguës
Attention ! Passage dangereux !
Un PMU peut en cacher un autre !
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Depuis que Madame de Fontenay a perdu sa place de directrice de l’organisation «Miss France» avec ce que cela comportait de fréquentes signatures d’autographes de Miss France sur les hippodromes, cela manque au PMU. A tel point que depuis il tente d’organiser des concours de «Miss Hippodrome». Ainsi on a constaté l’élection de «Miss Hippodrome de Cabourg» Cela va sans doute se généraliser. Pour avoir de meilleures chances d’être élues, les candidates doivent avoir une «culotte de cheval». C’est la moindre des choses.
Ce 23 octobre 2013, au travers de l’incontournable Paris-Turf, on apprend que lors d’un conseil d’administration (21/10/13), M. Bélinguier, Président de France-Galop, à l’affut de la moindre petite pièce qui traînerait dans des poches fragiles, a évoqué «la possible candidature» du PMU pour organiser des paris hippiques en, devinez où . . . en. . . . Grèce! Depuis les courses de chars de l’antiquité, on n’a rien organisé de sérieux en Grèce. Alors, le PMU ne pouvant pas faire parier les turfistes français en Grèce, veut faire parier les turfistes Grecs en France. Contrairement à des pratiques ancestrales, profondément ancrées, ce sont maintenant les Grecs qui «vont venir se faire voir» chez les français. Juste retour de «bâtons».
Tous les Etats d’Europe ont mis la main à la poche pour aider la Grèce. Le PMU, va essayer de mettre la main dans la poche des grecs, pour essayer de les vider. Comment on traduit en grec . . . Avec le PMU, nous parions que vous allez gagner? Je vous le disais ailleurs, le PMU n’hésite plus à faire main basse sur l’argent des pauvres, par d’illusoires promesses d’enrichissement. Personne ne s’est jamais enrichi en jouant au PMU. Une seule exception: dans les années 60, Monsieur X a gagné de l’argent mais y a perdu sa vie! C’est le prix à payer pour gagner contre le PMU.
Jouer au PMU est la façon la plus rapide pour un milliardaire de devenir millionnaire, et pour un pauvre de devenir clochard. Faut-il pour autant aller délester les Grecs de leurs derniers deniers? Cela ne semble pas vous déranger, M. Bélinguier. Le coeur sur la main, la main sur le coeur, et entre les deux, le portefeuille des turfistes. Il est vrai que ce sont les pauvres qui jouent. Les riches ne jouent pas. Pas cons. C’est pour cela qu’il sont riches.
Pourquoi vous attaquer à la Grèce, si mal en point? Pitié pour les morts de faim. Essayez plutôt de vendre du vent aux Etats-Unis. «In $ we trust» Il y a beaucoup de pauvres à clochardiser aux Etats-Unis. Toutefois, depuis «l’humour décalé» de votre clip publicitaire sur la mort de «Kennedy» (voir dans ce site le chapitre consacré à la plus mauvaise publicité du monde), vous y avez maintenant 325 millions d’ennemis. «Vous savez quoi?», Monsieur Bélinguier. Il faut faire semblant de réfléchir, avant d’agir. Prenez votre temps. C’est toujours ça de gagné sur vos désastreuses décisions à venir.
Pendant que je vous tiens, M. Bélinguier, avant de vous lâcher et vous reprendre ailleurs, pour souligner vos 20 erreurs MAJUSCULES, j’ai une dernière question à vous poser ici. Actuellement vous déclarez avoir 6.500.000 de turfistes. Quand vous rêvez, si toutefois vous rêvez, à quoi rêvez-vous? Probablement de multiplier votre clientèle par 10, soit 65.000.000 de turfistes. L’entière population de la France. Nous parions que vous allez tous gagner. Personne dans les usines, personne dans les bureaux, personne dans les laboratoires, personne sur les chantiers, personne, nulle part, mais 65 millions de Français faisant la queue aux guichets du PMU. Est-ce bien cela votre vision de l’avenir pour la France?
Je me permets de vous rappeler que le jeu est improductif. Absolument improductif. On ne peut même pas prétendre que la quote-part que l’on reverse à l’Etat améliore en quoi que ce soit l’équilibre d’une nation. Par exemple, le petit milliard (ou milliard et demi) que l’Etat touche chaque année, en provenance du PMU, est loin de couvrir les désastres associés à ce jeu. Notamment, l'affaiblissement de la production, l’augmentation du chômage et les frais médicaux pour essayer de guérir ces véritables malades du jeu que nous devenons, détruisent, et bien au delà, cette petite «entrée». Le PMU, malgré ses recettes dépassant les 10 milliards, en est même à aller quémander à Bercy une aide pour payer les propriétaires, et ainsi développer encore ce jeu improductif, en se servant de l’épouvantail à moineaux «si nous ne sommes pas aidés, vous risquez d’avoir 60.000 chômeurs sur le dos». Le jour où l’Etat prendra conscience que, contrairement à l’époque du Tiercé, (où les taxes étaient telles qu’on avait estimé que sans ce jeu, les contribuables auraient dû payer 5,75% d’impôts supplémentaires) il est maintenant largement perdant, il vous balayera d’un revers de décret.
Le jeu est nécessaire à certains et superflu à d’autres. Le PMU, au delà de toute considération morale, dont il n’a rien à contre-foutre, a totalement dévié de sa mission originelle. Il est passé de la «gérance» nécessaire à éviter certains désordres (1930 limiter l’action des bookmakers et concentrer les masses d’enjeux) à «l'ingérence» dans la vie des citoyens d'aujourd'hui, et la dispersion totale de leurs enjeux. Nous sommes passés du «joue qui veut, perd qui peut» au «tous aux guichets, tous perdants». Nous sommes tous invités à nous ruiner au travers de publicités mensongères du style «nous parions que vous allez gagner» (mensongère car s’adressant à l’ensemble des joueurs, donc à tout le monde, et pariant sur un gain alors que la masse d’argent à redistribuer est diminuée de 30% pour frais et taxes). Le PMU, en nous promettant d’inévitables profits, n’est plus neutre. Il est allègrement passé au pousse-au-jeu, au «pousse-au-crime». Le PMU est une perpétuelle invitation à un suicide collectif de notre société.
Fumer, boire, jouer, sont aujourd’hui les trois fléaux de notre société. Soyez prudent, Monsieur Bélinguier. Il n’y a pas de fumée sans feu. A force de pousser le bouchon un peu trop loin, vous allez rattraper l’un et l’autre et bientôt, je l’espère, tout comme l’alcool et le tabac, on va vous interdire de publicité sur les médias et vous contraindre à marquer sur chacun de vos milliards de tickets . . .
Jouer tue
Fumer, peut vous donner le cancer en 40 ans, en moyenne.
Boire, peut vous détruire le foie et le mental en 10 ans, en moyenne.
Jouer, peut ruiner votre vie, vous faire perdre argent, emploi, maison,
femme, enfants, amis et vous acculer au suicide en quelques mois.
Ce n’est pas tout. Il faudra un jour que je vous parle de M. Ponzi . . .
Mister.Y 26/10/13
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Cabourg vient de fermer ses portes Vendredi 30/08/13
Une larme de tristesse pour les estivants
Une larme de joie pour les organisateurs
La fête de l’hippodrome de Cabourg est finie
Les vacances sont finies. Il faut rentrer à Paris.
On a invite de fausses vedettes et de vraies gourdes. On a élu «Miss Hippodrome» probablement en raison de sa culotte de cheval. (Pardonnez- moi cette plaisanterie facile, Mademoiselle. Vous êtes sans doute charmante. Je regrette toutefois le départ de la grimaçante Mme. de Fontenay et de son unique chapeau blanc à ruban noir. Elle était présente sur tous les hippodromes. Elle défendait si bien son titre de femme la plus laide de France, mise en valeur par Miss France qui lui faisait face. «Miroir, mon bon miroir, dis-moi qui est la plus moche . . .» et elle gagnait à tous coups. Les courses de chevaux n'intéressent plus personne. Même l’organisation Miss France, qui pourtant ne se prive pas de faire de la publicité en tête de gondole dans les super-marchés, a renoncé aux hippodromes). Cette fête de Cabourg, qui n’avait rien d’hippique, s’est terminée par un feu d’artifice.
C’est le mot «artifice» qui me gêne. Dans le paysage peint par le PMU, le cheval ne se suffit plus à lui-même. Je me pose des questions idiotes, et comme je suis un idiot confirmé, un idiot «première pression, comme l’huile d’olive», il m’est d’autant plus facile d’y répondre. A la question : et sans feu d’artifice, sur les 15.000 visiteurs (et non turfistes), combien se seraient déplacés? Réponse . . . 10.000 peut-être. Et sans l’élection de Miss Culotte de Cheval, combien en resterait-il? Réponse : 7.500 peut-être. Et sans les attractions pour les gosses, combien? 5.000 peut-être. Et si l’entrée avait été payante . . . Si l’entrée avait été payante, même les chevaux ne seraient pas venus courir.
Le lendemain, Paris-Turf reporte qu’en effet tous les records de fréquentation à Cabourg sont battus. La foule a triplé, et le chiffre d’affaires a progressé de . . . 0,50% (la moitié de 1/%). C’est à dire, M. de Bellaigue, qu’il a fallu 300% d’augmentation de la fréquentation pour gagner un demi point de vente des paris, soit . . . 1/600° ! Voilà un argent qui coûte une fortune. Il se traduit par une publicité ponctuelle éphémère d’un hippodrome bourré artifice-iellement, et par une perte sèche importante.
De Bellaigue insiste sur le fait que le entrées des hippodromes sont un spectacle bon marché. Evidemment, «si on joue c’est un peu plus cher», ajoute-t-il. (il oublie de préciser que le jeu, tous les ans, rapporte au PMU 2.500.000.000 d’euros - deux milliards et demi! - qui sortent définitivement de la poche des turfistes - un peu plus cher, comme vous le dites si bien, du bout des lèvres). Chez de nombreux négociants et restaurants de Cabourg, dans les points de vente PMU, on pouvait trouver des billets d’entrée gratuits, avec promesse de feu d’artifice. De nos jours, il faut des «artifices» pour attirer du monde sur les hippodromes. Il faut ajouter que nous sommes en fin de vacances. La foule est là, désoeuvrée. L’hippodrome n’est pas loin de la ville.
En réalité, au PMU vous ne savez pas compter, vous n’avez jamais su compter et ne comptez pas sur vous pour apprendre. Prenez des cours du soir, les rares soirs où il n’y a pas de «nocturnes». Il faudrait peut-être que le PMU se sorte de ses «artifices» avec ou sans feu, et se décide à reconsidérer, à changer totalement toute son organisation. Dans le spectacle artificiel de Cabourg, il n’y avait que le feu d’artifice qui était authentique. Combien nous a-t-il coûté, à nous, les turfistes?
Le lendemain samedi 31/09/13, à Vincennes, pas grand monde, et surtout, le dimanche 1er Septembre, pour l’ouverture de Longchamp, le désert du Qatar, revendication des employés, courses supprimées etc. Voilà le PMU rattrapé par sa triste réalité.
Turfiste mon frère, garde ton fric, garde ton froc. Notre passion est gouvernée par des «analpha-bêtes» qui connaissent mieux les cochons de payants, les bêtes de somme que nous sommes, que les chevaux. (Pour un jeu de mot, je tuerais bien père et mère. Après celui-la, ils ne risquent rien). Nos avons à faire à de véritables cannibales des idées des autres. Toutes ces manifestations sur les hippodromes ne sont que de la «poutre aux yeux», de l’esbroufe cousue de grosse corde blanche, copiée, pompée, maladroite, factice, artificielle, comme le feu du même nom.
En attendant, M. de Bellaigue, à Vincennes et Longchamp comme dans les plus grands stades de foot, «on y court à guichets fermés». C’est le désert et la plupart de guichets sont bouclés. A Vincennes, notamment à l’étage, la poussière s’entasse sur les machines à sous. Il faudra bien que tôt ou tard, et plutôt plus tôt que plus tard, vous vous décidassiez, avec vos deux autres présidents cooptés, à remettre en cause l’ensemble de l’édifice PMU, avant qu’il ne s’écroule. Rustines, pansements et bandages n’y suffisent plus.
Il faut tout refondre au PMU. Il faut repartir des deux piliers incontournables des courses. Quels sont ces piliers des courses, M. de Bellaigue? «Je vais vous le dire!» (Sarkozy - il faut toujours citer les auteurs dans grandes phrases). Depuis que vous parlez des «sociaux-professionnels, vous avez perdus de vue les deux piliers essentiels des courses. Je vais vous rafraichir la mémoire.
Pour ce faire, vous prenez un rond de présentation. Vous videz tout le monde, absolument tout le monde, propriétaires, entraîneurs, jockeys etc. Au centre vous mettez uniquement un cheval et un turfiste qui se regardent dans le blanc de l’oeil. Voilà vos deux piliers. Il y en a un qui court sur les pistes, l’autre qui court au guichets du PMU. Quelle est leur motivation, M. de Bellaigue? Ne cherchez pas . . . le cheval veut de l’avoine et le turfiste du blé. C’est une question de céréales, voyez-vous . . . et d’argent, ce qui fait que votre coupable industrie dépend du Ministère de l’Agriculture et de celui des Finances.
C’est en partant de ces deux composantes essentielles des courses qu’il faut bâtir sainement un système qui tienne debout et permette à ces deux piliers de survivre, et non son contraire. Il ne faut jamais plus les perdre des yeux. Il faut construire une pyramide d’Egypte, et non une Tour de Pise.
Ici, M. de Bellaigue, je vais faire appel à votre mémoire. Votre «philosophie» du jeu a légèrement évolué depuis 10 ans. Il y a un peu moins d’une décade, alors que j’étais à Vincennes, un entraîneur de mes amis m’entraîna dans une réunion de propriétaires-entraîneurs qui m’était normalement interdite. C’est là que je vous ai vu pour la toute première fois. Vous étiez ce jour-là de méchante humeur. J’ai été surpris par vos vitupérations plus qu’intempestives, mélanchoniennes même, contre la . . . FdJ et son jeux, le «Rapido». Votre indignation portait sur le coté hasard et le tirage accéléré, toutes les 15 minutes de ce jeu. Vous évoquiez le pauvre joueur tombé en addiction pour ce jeu, qui siffle une bière sur un comptoir en zinc et creuse celle de son portefeuille. Indignation teintée, comme toujours au PMU, d’une certaine jalousie de la réussite de ce jeu . . . tout à fait indigne, je vous l’accorde.
Mais vous, Monsieur de Bellaigue, ou à tout le moins le PMU, dont vous êtes l’un des trois directeurs, qu’avez vous fait d’autre? Votre imagination ne vous a pas ouvert la porte sur une solution intelligente pour contrer le Rapido, et comme toujours vous avez copié la FdJ, . . . une course toutes les 15 minutes et les hasards d’un SpOt. Pire, le 20 septembre 2013, le présentateur d’Equidia, affolé, passait son temps à s’exclamer «Vite, vite, courons par-ci, précipitons nous par là. Aujourd’hui il y a des courses toutes les 10 minutes!». En dix minutes, il n’est pas question de «faire le papier». On n’a même pas de temps d’acheter un SpOt. Nous en sommes à la nausée des courses. Pendant des années, le PMU poussé par cette accélération et autres publicités mensongères a progressé artificiellement. Votre carence imaginative arrive à son terme.
La différence entre la FdJ et le PMU, est une question de changement de vitesse. La FdJ s’est rendu compte du côté impopulaire du Rapido, a fait marche arrière, et l’a supprimé. Le PMU n’a pas de marche arrière dans sa boîte de vitesse, et pas de freins non plus. Il roule à tombeau ouvert, à fond la caisse en bois de sapin. Maintenant vous allez en payer le prix. Bientôt, (je vous vois venir), n’ayant plus de créneaux horaires, vous vous croirez obligés d’augmenter la quote-part prélevée sur les turfistes pour augmenter les «prix» attribués aux propriétaires. Actuellement vous fermez certains hippodromes, véritables succursales du PMU. Ce jour là, vous pourrez fermer la boutique principale.
Monsieur de Bellaigue, ne prenez pas tout cela pour une attaque personnelle. En dehors des maladresses dont nous sommes tous capables, vous restez à mes yeux l’homme qui a réussi. Vous avez gagné. Les turfistes ont perdu. Nous sommes donc dans le désordre des choses. L’affaire Trot est bien gérée, ce qui vous vaut des réélections à l’unanimité sauf une voix. La mienne vous serait également acquise si vous aviez un esprit plus ouvert sur l’ensemble de l’édifice «courses» qui ne comporte pas seulement le Trot, et les propriétaires-entraineurs-drivers de trot, mais tout un ensemble de facteurs, qui vont du maréchal-ferrant aux Princes propriétaires de toutes les disciplines, sans oublier le seul, l’unique pourvoyeur de fonds, le Turfiste.
Si l’un des facteurs souffre et n’y retrouve pas son compte, c’est l’ensemble de l’édifice qui s’écroule. Un peu moins de jalousie pour la FdJ, (que mon père avait mis à mal du temps où elle s’appelait Loterie Nationale et que les différents présidents qui vous ont précédé ont laissé stupidement renaître - vous découvrirez cela dans l’histoire du Tierce). Un peu plus d’idées originales (le PMU ne peut plus continuer à pomper indéfiniment les idées des autres, c’est vil, ridicule et improductif) et surtout, il faudrait vous pencher sur le seul banquier des courses, le Turfiste, essayer de comprendre qui il est, ce qu’il désire, ce qui le motive.
Monsieur de Bellaigue, pour comprendre de qui se passe au PMU, depuis combien de temps ne vous êtes-vous pas rendu, incognito, dans quelques points-vente de PMU, notamment dans la banlieue des grandes villes, dans ces salles obscures ou croupit le plus clair de vos clients, les yeux rivés sur un mauvais téléviseur? Depuis combien de temps ne vous êtes vous pas rendu sur les gradins Vincennes, seul, un mardi soir? Avez-vous essayé, sur votre ordinateur personnel, (si vous en avez un) de jouer sur votre compte PMU (si vous en avez un). Avez-vous essayé de vous perdre de vue, pendant quelques heures, et vous glisser dans la peau d’un turfiste, pour comprendre pourquoi il prend le risque de jouer? Avez-vous essayé d’acheter un Gény-Courses (au prix garanti de 1€ - Monsieur de Bellaigue, il faut savoir risquer 1€ pour comprendre la cupidité du PMU, qui fait cadeau d’un torchon aux Turfistes, dans le seul but de couler Paris-Turf, ce qui par ricochet, ferait du PMU une usine à gaz du hasard). C’est seulement alors que vous comprendrez le manque d’humanité du PMU. Je sais bien que le PMU n’est pas l’Armée du Salut, mais de là à en faire un Tir au Pigeons . . . (Attention M. de Bellaigue, les «pigeons» sont devenus de nos jours des révolutionnaires!). Vous comprendriez également les difficultés de vos clients et leur démotivation. Un proverbe prétend que «la fortune ne se trouve pas sous le pied d’un cheval». Avec votre système il n’y a plus d’exceptions. Sous le sabot d’un cheval on ne trouve plus que des bonus à 2,20€. Le turfiste, ne fait pas «mumuse» avec les chevaux, il fait «mumuse» avec sa vie. Il veut qu’on lui présente la réalité d’une probabilité de s’enrichir par son observation et non une illusoire improbabilité de faire fortune par un tirage au sort. Il veut se donner une chance de recouvrer sa liberté dans une société française qui est en train de tourner au communisme pur et dur. (Dans ce classement, nous avons une place de choix. Nous sommes en deuxième position, juste après la Corée du Nord. Même la très fermée Albanie s’est ouverte au capitalisme. Que dire de la Russie).
Le Trot est en bien meilleure santé par rapport à un Galop, moribond. L’essentiel de la crise du Galop tient à cette obstination à perpétrer les mesures anglo-saxonnes en lieu et place d’un bon chronomètre, à trop simplifier les appréciations du terrain, à la multiplication des courses qui ont rendu tout pronostic impossible, et surtout d’avoir «mélangé» les genres. Peu de grands propriétaires, qui acceptent de perdre la moitié de leurs investissements, sont de surcroit prêts à se «mélanger» à des pousseurs de baballe et des tapeurs de carton (foot et poker- encore une erreur de l’éternel gaffeur Bélinguier). Les carences du Galop, vont entraîner la chute de tout l’édifice. L’avez vous compris? L’avez-vous reproché à votre ami Bélinguier. Dans cette époque de «morcellement forcené des masses», faut-il en arriver, pour sauver le Trot, à faire une scission entre le Trot et le Galop, deux PMU différents, un PMUT pour le trot, et un PMUG, pour le galop? Le report des divisions, tout comme dans la multiplication est exponentiel et atteint rapidement des conséquences incontrôlables.
En matière de résultats, nous avons actuellement une division d’au moins x2 par la dispersion des masses. La multiplication des courses divise encore ces masses. Après l’action intentée par Betclic auprès des autorités de la concurrence, le PMU va se voir imposer à terme une nouvelle séparation entre ce qui sera joué en ligne, et les enjeux en dur (points de vente et hippodromes). Tôt ou tard, que vous le vouliez ou pas, pour retrouver une identité de «jeu de réflexion» vous allez être obligés de neutraliser l’énorme bévue de Bélinguier, le SpOt (voir la page que je lui ai consacrée). Cette forme stupide d’enjeu, qui consiste à vendre l’étude des turfistes à ceux qui le sont moins, pour 2€ (comment le PMU a-t-il pu se prêter à pareille trahison du secret de sa clientèle?) a pris trop d’importance et ne peut plus être supprimé. Il faut, comme je l’ai suggéré depuis maintenant 8 ans, séparer les enjeux des turfistes des masses jouées par les «spotistes». (souriez, mais pas trop . . . ). Que dire de cette autre catastrophe «bélinguière» appelée «flexi», capable de diviser les rapports du Quinté par dix. (Là aussi, comment le PMU a-t-il pu se résoudre à pareille imbécilité?). Pour couronner le tout, l’addition de ces divisions va accroitre encore le poids aux opérateurs indépendants. L’effet n’est pas immédiatement brutal, mais s’installe graduellement. Les dignitaires du PMU s’endorment sur leurs deux oreilles. La concurrence veille.
Mais alors? Est-ce que le PMU, dans toute sa trajectoire, qui va de 1930 à nos jours, ne nous a pas fait un bel aller-et-retour? Au départ, le PMU s’implante en promettant de concentrer les mises, et ainsi avoir une meilleure répartition des gains, des rapports plus stables et assurés. On en arrive, 83 ans après, au stricte contraire. Multiplication des réunions et des jeux. Dispersion des masses. Multiplication des opérateurs. Nous sommes revenus à la période «book-maker’s» que le PMU s’était promis de combattre. Pour l’éviter, encore aurait-il fallu élire des présidents qui aient un minimum de culture du passé, et un embryon de mémoire. Ce n’est pas le cas!
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C’en est au point que maintenant, même la concurrence s’inquiète du sort qui attend le PMU. Dans Paris-Turf du 31 octobre 2013, je découvre ce qui a été écrit de plus intelligent, depuis que je lis la presse hippique. (depuis un demi-siècle donc!). Malheureusement, cette clairvoyance n’émane ni d’un membre du PMU, et encore moins d’un journaliste de Paris-Turf. C’est Emmanuel de Rohan Chabot, fondateur du site Zeturf, opérateur concurrent, qui s’exprime:
Je rappelle que quand Bélinguier, mu par l’éternelle stupide jalousie qui caractérise tous les présidents du PMU, a voulu combattre quelques petits sites qui se trouvaient dans les îles lointaines et grignotaient 2 ou 3 % du chiffre, (insignifiant) il a perdu face à M. Rohan Chabot (Zeturf). Ce fut la fin du monopole du PMU. Les sites qui étaient «offshore» ont pu débarquer légalement en France. Une nouvelle attaque de Betclic cette fois, procédure entamée en début 2012, arrive à conclusion en octobre 2013. Betclic gagne contre le PMU pour des raisons de libre concurrence. Le PMU va se voir obligé de séparer son marché en dur (hippodromes et points de vente) de ses activités Internet, pour ne pas écraser de sa puissance les opérateurs uniquement Internet. M. Rohan Chabot s’inquiète à juste titre. Il estime qu’après toutes les erreurs de stratégie du PMU, celui-ci est maintenant en danger. Il ne faut pas tirer sur l’ambulance qui transporte le PMU, de peur qu’il ne succombe. Si cela devait arriver, les prochains passagers de cette ambulance-là, seraient les petits opérateurs eux-mêmes.
C’est grandiose de stratégie, de la part de Rohan Chabot, que de ménager son principal concurrent, pour ne pas succomber avec lui. Intéressé mais grandiose. Et si plutôt que d’élire des débutants maladroits à la présidence du PMU, (qui avant leur élection, n’ont jamais vu un cheval, ni un turfiste, de près ou de loin) on y installait Monsieur Emmanuel Rohan Chabot? Je crois que ce jour-là, je pisserais de rire. En tous cas, à l’avenir, le PMU ferait bien, plutôt que de se coopter, de lancer un appel d’offres pour dénicher un président digne de ce nom. Coopter un jeune président, pour garder la main mise sur son inexpérience, ne mène pas bien loin. En ces temps d’économie, la seule économie à ne pas faire, c’est celle des honoraires d’un président. Cela d’autant plus que le PMU est sous tutelle de l’Etat. Quel que soit son salaire, Hollande lui en reprend les 3/4 à la sortie, sous forme d’impôt. Des «grands patrons», il y en a fort peu. Ils sont beaucoup moins nombreux que les pousseurs de ballons. Je vous invite à comparer leurs salaires.
Ce que Rohan Chabot n’a pas pu prévoir à ce jour (28/10/13), et qu’il découvrira dans ces lignes, c’est la gravité du cancer qui ronge les entrailles du PMU. Bien entendu, rien ne transparaît. Les deux représentants de commerce, Messieurs de Bellaigue et Bélinguier, fringués de pied et cap, tout sourire dehors, «parient que nous allons gagner» et nous font miroiter bonheur, richesse, voitures de luxe, châteaux en Espagne. On nous promet de nouveaux jeux, de nouvelles courses à l’étranger (290 de plus que l’année 2013. La folle course en avant continue). Ne me taxez pas d’obsessionnel avant d’avoir pris conscience de l’étendue des dégâts provoqués par la . . .
JALOUSIEDe mes souvenirs, confortés par mes archives, j’en tire quelques exemples ayant particulièrement marqué au fer rouge le PMU.
Il y a bien évidemment la jalousie d’André Carrus pour Monsieur X, qui aboutira au suicide de Patrice des Moutis et à la perte de la «locomotive» du Tiercé. C’est à partir de cet acte inconscient que le Tiercé, le plus grand jeu du monde à l’époque, périclitera à jamais. Le PMU ne retrouvera jamais un jeu d’une telle ampleur. Plus de 12 millions de joueurs, dans une France moins peuplée, soit l’équivalent aujourd’hui de 14 à 15 millions, à comparer avec les 1,5 million (maximum) pour le Quinté actuel. (il se joue actuellement moins de 5 millions par Quinté. Cela représente 2,5 millions de combinaisons. Je pense qu’elles sont couvertes par moins de 1.000.000 de turfistes)
Plus récemment, il y a la jalousie de Bertrand Bélinguier, qui ira copier à la Française des Jeux la Tirelire et le SpOt, (Loto et Loto-flash) tout à fait inappropriés dans le secteur des courses de chevaux. Il les glissera dans sa vision débile d’un Quinté remodelé, sous le nom de Nouveau Quinté+, le tout agrémenté d’un bonus supplémentaire appelé 4sur5, qui bouffe les entrailles de ce jeu. Je ne vais pas aller chercher un exemple bien loin. Pas la peine. Aujourd’hui, je dis bien aujourd’hui, au moment même où je vous écris ce complément à ce chapitre, ce vendredi 01/11/13, le Quinté vient de se courir (il faudrait le secourir). Un seul gagnant dans l’ordre reçoit seulement 184.800€ (il n’y a pas si longtemps, il aurait gagné plus de 1.500.000€ (près de 10 fois plus). Où est passé l’argent? Il a été donné en bonus aux maladroits qui n’ont trouvé que 4 sur les 5 premiers, soit 1.486.000€. Débile. Et je ne tiens pas compte de l’affaiblissement de ce jeu. Aujourd’hui il a récolté un peu plus de 4.000.000€, soit un déclin de plus de 15%.
Bien entendu, il y a également la jalousie de Dominique de Bellaigue. Comme expliqué plus haut, j’en ai été témoin, à Vincennes. Il vitupérait contre la FdJ et son Rapido. Depuis, la FdJ a supprimé le Rapido, mais le PMU, après l’avoir copié et décrété une course toutes les 15 minutes, continue à ce rythme destructeur.
Mais surtout, il y a la jalousie de l’éternel Bélinguier, reconduite par le président actuel du PMU, à l’égard le quotidien Paris-Turf. Le PMU a racheté une société privée de vente de pronostics en perdition Gény-Courses. L’a transformée en quotidien de courses hippiques, petit torchon inexpérimenté, vendu à la casse (peu importe, c’est le turfiste qui paye) et vient évidemment affaiblir Paris-Turf. Le PMU ne s’est même pas aperçu que quand il aura coulé Paris-Turf, et nous n’en sommes pas loin, le PMU perdra les derniers «turfistes studieux». Son SpOt n’aura plus la possibilité de piquer les favoris. Nous serons dans un jeu totalement basé sur le hasard, et dans ce secteur, la FdJ est inégalable. Silence, on coule.
Pour en revenir à Rohan Chabot, il ne connait pas encore les éléments qui mettent en danger mortel Paris-Turf à très court terme, ce qui transformera les turfistes en joueurs de hasard, en attendant qu’ils s'aperçoivent que gagner une tirelire, est 600 fois plus improbable que de gagner au Loto. (voir chapitre «Tirelire-Photo, y a pas photo»). La disparition de Paris-Turf entraînerait celle des 7 titres associé. Resteraient quelques petits titres mineurs et la presse généraliste, qui ne peut pas consacrer plus que 2 ou 3 pages à l’hippisme. Il ne faut pas oublier que les journalistes d’Equidia ont sur leurs genoux Paris-Turf et les journalistes généralistes se servent de sa banque de données pour établir leurs pronostics. Le combat d’arrière garde de l’inconscient Bélinguier contre Paris-Turf, en brandissant son torchon Gény-Courses, est un suicide. Voilà, Monsieur Rohan Chabot, ce qui nous attend et cela non pas dans 2 ans (procès Betclic), mais . . . maintenant. (allez voir plus bas ce qui arrive, de nos jours, à ce qui fut le premier journal hippique de France, né de l’association de Sport-Complet et Paris-Turf).
A l’avenir, cette photo pourrait ne pas comporter de sulky.
Dans une certaine mesure, vous avez de la chance. Si vous saviez ce que je m’apprête à dire à M. Bélinguier . . . et ses 20 erreurs Majuscules.
La vie est un grand théâtre. Une mascarade. A chacun son déguisement. Bélinguier préfère endosser le masque de Corsaire pour aller à l’abordage de la FdJ et lui pirater ses meilleures idées.
Petit historique vite fait, mal fait. Il y a quelques années, Paris-Turf comportait environ 250 journalistes et employés. Ce chiffre est rapidement tombé à moins de 200 au moment de quitter Paris, pour le «trou du cul» de la France, la ville d’Aubervilliers (93). En ce début de millénaire, fut nommé à la tête du journal, un certain François Hallopé. Pour faire des économies, il vida bon nombre de gros salaires, donc les meilleures plumes. Le journal s’en trouva tout déplumé. Hallopé est, sans conteste, le plus grand flatteur de présidents du PMU et de socio-professionnels. Sa carrière en dépend. J’ai relu toutes ses chroniques de l’époque. Je n’y ai pas découvert, ne serait-ce qu’une seule fois, le mot «turfiste» ou «parieur». Ce journaliste passait son temps à s’écrier «Ha la bonne nouvelle!» chaque fois que le PMU installait un SpOt dans l’un de ses jeux. Il ne s’est même pas aperçu que pour «jouer SpOt», il est inutile d’acheter Paris-Turf, dont il était pourtant le directeur. Un jour il lui prit l’idée de rénover la maquette de Paris-Turf. La veille il crut bon de nous rassurer, plein journal: «demain . . . nouvelle maquette. N’ayez pas peur!» (un peu comme on avertir les mômes de ne pas avoir peur de la roulette du dentiste - c’est unique dans l’histoire mondiale du journalisme) Le lendemain nous étions tous épouvantés. Mal aux yeux, maux de tête, vomissements dus à l’effet de moirage. Ici je n’exagère en rien. Hallopé nous a tous Hallopé. Le journal perdit du jour au jour (inutile d’attendre le lendemain) 20% de ses lecteurs. Après s’être tiré cette balle dans le pied, Hallopé se tira du journal, et comme toujours dans le milieu des courses «chassez le naturel, Hallopé revient au galop». Aujourd’hui il écrit des chroniques dans Paris-Turf, (qui entre temps a oublié les immenses dégâts causés par ce journaliste), éloge permanent des socio-professionnels. Récemment, dans l’une d’entre elles, j’ai découvert, première et dernière fois, le mot «turfistes». J’ai cru tomber à la renverse. Sacré Hallopé. Ça se trouve, il gagne plus avec ses chroniques oiseuses, que quand il était directeur du journal. Ça se trouve . . . Après Hallopé, un autre journaliste, (M. Blain je crois) fit exactement la même chose. Nouvelle maquette, nouvel avertissement . . . «demain . . . nouvelle maquette. N’ayez pas peur!» (copier/coller de Hallopé, son idole). Le lendemain, rebelote. Nouvelle angoisse. Mal aux yeux, mots de tête, vomissement en raison du moirage. Nouvelle perde de 20% des clients. Je n’exagère en rien. Je vais aller vous chercher les articles et je publierai des extraits de ces «nouvelles maquettes». Attention aux yeux! Promis! Je ne peux pas là tout de suite. Je suis pris d’un rire convulsif. Ce sont ces gamineries de ces petits amateurs, sans aucune notion de l’imprimerie, de la mise en page, de l’esprit des courses, qui en quelques années ont détruit Paris-Turf et réduit le personnel, composé de 250 journalistes à moins de 100 journaleux, et le tirage de 280.000 à moins de 60.000. Ne parlons pas des ventes. Paris-Turf cache ses tirages. La honte au visage elles doivent se situer autour de 40 à 45.000.
Au moment de la braderie de Paris-Turf, il y a trois mois, pour 15 millions d’euros je crois savoir (ensemble du groupe, 8 titres et le site LeTurf.fr,) il restait moins de 100 journalistes et employés. Récemment, j’ai eu confirmation du chiffre exact: 96 journalistes et employés. Paris-Turf est maintenant contraint de se délocaliser à nouveau dans le sud de la France, à Aix en Provence. Cette nouvelle délocalisation a dissous le Comité d’Entreprise de Paris-Turf, laissant les employés dans le désarroi. Cela aura des conséquences sur leurs primes et retraites.
Tout Comité d’Entreprise possède un «fond de caisse» et le journal, qui a été obligé de licencier massivement, prend certainement de logiques précautions pour ne pas être attaqué sur ce point-là. Il a donc été décidé de répartir cette somme auprès de tous les employés. Par ailleurs, ne voulant pas présenter cette comptabilité sur des fiches de paie, avec tout ce que cela comporte de répercutions fiscales, il a décidé, tout à fait légalement, de diviser cette somme sous forme de petits cadeaux, deux bouteilles de bons vins, rouge et blanc, quelques boîtes de conserve, le traditionnel foie gras, le «panier» habituel, généralement cadeau de fin d’année des entreprises. Et toujours dans le souci d’une répartition équitable, il a été établi la liste exhaustive des journalistes et employés de Paris-Turf. La souris que je suis a vu cette liste. Elle ne comporte plus que . . . 62 noms !
En trois mois, depuis son rachat, 34 journalistes ont été remerciés. Paris-Turf est tombé de 96 à 62 employés, soit 35% de réduction de personnel. Je ne ris plus. Je suis atterré. Là est le danger pour le Groupe Paris-Turf, pour le PMU, pour les sites opérateurs, pour les propriétaires, pour les entraineurs, pour les jockeys, pour les drivers, pour les turfistes, pour les chevaux, pour les négociants d’avoine, pour les selliers, pour les maréchaux-ferrants, pour les négociants de clous pour fers à chevaux, pour les hippodromes, pour les employés du PMU et du PMH, pour les . . . etc.
M. Rohan Chabot, est ce que vous trouvez Chabot? (j’ai honte).
Moi je suis triste. Je suis la seule souris qui ne sourit pas.
Le danger vient de l’affaiblissement du PMU dans deux ans, en raison du procès Betclic, disiez-vous? Certes. Mais il est plus probable que bien avant cette date, la disparition de la «Bible», Paris-Turf, ait transformé le PMU en une usine à gaz hasardeuse, sans aucune possibilité de pronostiquer quoi que ce soit, et que, à terme, il ne succombe à son tour, anéanti par la FdJ, seuls maîtres actuels des jeux de hasard. Adieu Berthe!
Je me soucie bien entendu du sort qui sera réservé à tous ces chevaux. Mais je me préoccupe surtout de la suite de la carrière de M. Bertrand Bélinguier. C’est quand la prochaine élection à la présidence de la Française des Jeux? Il faudra qu’entre temps il achète un boulier pour être autorisé à candidature, tout comme pour se présenter au PMU, il a acheté une écurie de . . . 2 chevaux. (on ne peut pas moins. Une écurie, c’est deux minimum).